Ranitidine : Mécanisme d'action
La ranitidine est un antagoniste des récepteurs H2 à l'histamine. Elle inhibe la sécrétion d'acide gastrique provoquée non seulement par l'histamine, mais également par la pentagastrine, l'insuline, la caféine ou par les aliments.
La ranitidine n'altère pas la production de mucus, n'affecte pas la sécrétion pancréatique et semble sans effet sur le sphincter inférieur de l'œsophage.
Ranitidine : Cas d'usage
- oesophagites dues à un reflux gastro-oesophagien,
- reflux gastro-oesophagiens,
- syndromes de Zollinger-Ellison,
- ulcères duodénaux et gastriques.
Par voie orale, elle est également utilisée dans la prise en charge d'éradications de Helicobacter pylori.
Par voie injectable, elle est également utilisée dans la prise en charge de lésions gastroduodénales liées au stress.
Ranitidine (chlorhydrate) 150 mg comprimé
ATC | Risque sur la grossesse et l'allaitement | Dopant | Vigilance | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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A - VOIES DIGESTIVES ET METABOLISME A02 - MEDICAMENTS DES TROUBLES DE L'ACIDITE A02B - MEDICAMENTS DE L'ULCERE PEPTIQUE ET DU REFLUX GASTRO-OESOPHAGIEN (RGO) A02BA - ANTAGONISTES DES RECEPTEURS H2 A02BA02 - RANITIDINE |
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INDICATIONS ET MODALITÉS D'ADMINISTRATIONranitidine (chlorhydrate) * 150 mg ; voie orale ; cpIndications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
- Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
- Syndrome de Zollinger-Ellison chez l'adulte
- Ulcère duodénal chez l'adulte, traitement d'entretien (de l')
- Ulcère duodénal évolutif
- Ulcère gastrique évolutif
- Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
PosologieUnité de prisecomprimé- ranitidine (chlorhydrate) : 150 mg
Modalités d'administration- Voie orale
- Administrer avec une quantité suffisante d'eau
- Administrer indépendamment de la prise des repas
- Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie
Patient de 6 an(s) à 12 an(s)
Poids >= 30 kg
Ulcère duodénal évolutif - Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- 4 à 8 mg/kg en 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Posologie maximale: 300 mg par jour
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- 5 à 10 mg/kg en 2 prises par jour
- Posologie maximale: 600 mg par jour
Patient de 12 an(s) à 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Patient à partir de 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal chez l'adulte, traitement d'entretien (de l')
Posologie standard
- Administrer le soir
- 150 mg en 1 prise par jour
Syndrome de Zollinger-Ellison chez l'adulte
Traitement initial
- 600 mg en 2 à 4 prises par jour
Traitement ultérieur
- 600 à 1 200 mg en 2 à 4 prises par jour
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Populations particulières- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
Information des professionnels de santé et des patients- S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur digestive
Modalités d'administration du traitement- Administrer indépendamment de la prise des repas
Risques liés au traitement- Risque d'exacerbation de porphyrie
- Risque de multiplication bactérienne intragastrique
- Risque de pneumopathie
Indications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
- Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
- Syndrome de Zollinger-Ellison chez l'adulte
- Ulcère duodénal chez l'adulte, traitement d'entretien (de l')
- Ulcère duodénal évolutif
- Ulcère gastrique évolutif
- Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
PosologieUnité de prisecomprimé- ranitidine (chlorhydrate) : 150 mg
Modalités d'administration- Voie orale
- Administrer avec une quantité suffisante d'eau
- Administrer indépendamment de la prise des repas
- Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie
Patient de 6 an(s) à 12 an(s)
Poids >= 30 kg
Ulcère duodénal évolutif - Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- 4 à 8 mg/kg en 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Posologie maximale: 300 mg par jour
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- 5 à 10 mg/kg en 2 prises par jour
- Posologie maximale: 600 mg par jour
Patient de 12 an(s) à 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Patient à partir de 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal chez l'adulte, traitement d'entretien (de l')
Posologie standard
- Administrer le soir
- 150 mg en 1 prise par jour
Syndrome de Zollinger-Ellison chez l'adulte
Traitement initial
- 600 mg en 2 à 4 prises par jour
Traitement ultérieur
- 600 à 1 200 mg en 2 à 4 prises par jour
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Populations particulières- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
Unité de prisecomprimé- ranitidine (chlorhydrate) : 150 mg
Modalités d'administration- Voie orale
- Administrer avec une quantité suffisante d'eau
- Administrer indépendamment de la prise des repas
- Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie
Patient de 6 an(s) à 12 an(s)
Poids >= 30 kg
Ulcère duodénal évolutif - Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- 4 à 8 mg/kg en 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Posologie maximale: 300 mg par jour
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- 5 à 10 mg/kg en 2 prises par jour
- Posologie maximale: 600 mg par jour
Patient de 12 an(s) à 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Patient à partir de 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal chez l'adulte, traitement d'entretien (de l')
Posologie standard
- Administrer le soir
- 150 mg en 1 prise par jour
Syndrome de Zollinger-Ellison chez l'adulte
Traitement initial
- 600 mg en 2 à 4 prises par jour
Traitement ultérieur
- 600 à 1 200 mg en 2 à 4 prises par jour
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Populations particulières- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
- Voie orale
- Administrer avec une quantité suffisante d'eau
- Administrer indépendamment de la prise des repas
- Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie
Patient de 6 an(s) à 12 an(s)
Poids >= 30 kg
Ulcère duodénal évolutif - Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- 4 à 8 mg/kg en 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Posologie maximale: 300 mg par jour
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- 5 à 10 mg/kg en 2 prises par jour
- Posologie maximale: 600 mg par jour
Patient de 12 an(s) à 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Patient à partir de 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Ulcère duodénal chez l'adulte, traitement d'entretien (de l')
Posologie standard
- Administrer le soir
- 150 mg en 1 prise par jour
Syndrome de Zollinger-Ellison chez l'adulte
Traitement initial
- 600 mg en 2 à 4 prises par jour
Traitement ultérieur
- 600 à 1 200 mg en 2 à 4 prises par jour
Ulcère duodénal évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
Ulcère gastrique évolutif
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
Ulcère gastroduodénal, traitement préventif des récidives (de la)
Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Populations particulières- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
- 4 à 8 mg/kg en 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Posologie maximale: 300 mg par jour
- 5 à 10 mg/kg en 2 prises par jour
- Posologie maximale: 600 mg par jour
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Administrer le soir
- 150 mg en 1 prise par jour
- 600 mg en 2 à 4 prises par jour
- 600 à 1 200 mg en 2 à 4 prises par jour
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 semaines
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 6 semaines
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Pendant 12 mois
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
Information des professionnels de santé et des patients- S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur digestive
Modalités d'administration du traitement- Administrer indépendamment de la prise des repas
Risques liés au traitement- Risque d'exacerbation de porphyrie
- Risque de multiplication bactérienne intragastrique
- Risque de pneumopathie
INFORMATIONS RELATIVES À LA SÉCURITÉ DU PATIENTranitidine (chlorhydrate) * 150 mg ; voie orale ; cpNiveau de risque : XCritique IIIHaut IIModéré IBas
Interactions médicamenteusesIII
Haut
Niveau de gravité :
Association déconseillée
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Posaconazole (suspension buvable)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole.
II
Modéré
Niveau de gravité :
Précaution d'emploi
Colestipol + Médicaments administrés par voie orale
Résines chélatrices + Médicaments administrés par voie orale
Risques et mécanismes La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. Conduite à tenir D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible. Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants + Médicaments administrés par voie orale
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de ces substances.
Conduite à tenir Par mesure de précaution, il convient de prendre ces topiques ou antiacides à distance de tout autre médicament (plus de 2 heures, si possible).
I
Bas
Niveau de gravité :
A prendre en compte
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Abémaciclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Brigatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lorlatinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Axitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Bosutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cabozantinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Céritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobimétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Crizotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dabrafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dasatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Erlotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fostamatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Géfitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Giltéritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ibrutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Imatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lapatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Larotrectinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Nilotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Osimertinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Palbociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pazopanib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ponatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ribociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ruxolitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sorafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sunitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Upadacitinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobamamide (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cyanocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Hydroxocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Mécobalamine (voie orale)
Risques et mécanismes Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Itraconazole (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Kétoconazole (voie orale)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Rilpivirine
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de la rilpivirine. Conduite à tenir Si nécessaire, utiliser un antihistaminique H2 actif en une prise par jour, à prendre au moins 12 heures avant, ou au moins 4 heures après. Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ulipristal
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Atazanavir + Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique)
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir. Conduite à tenir Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)
Risques et mécanismes Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. Conduite à tenir Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.
Contre-indicationsX
Critique
Niveau de gravité :
Contre-indication absolue
-
Hypersensibilité à l'un des composants
-
Hypersensibilité aux antihistaminiques H2
PrécautionsIIModéréNiveau de gravité : Précautions-
Antécédent de porphyrie aiguë intermittente
-
Déficit immunitaire
-
Diabète
-
Enfant de moins de 30 kg
-
Enfant de moins de 6 ans
-
Insuffisance hépatique sévère
-
Insuffisance rénale
-
Pneumopathie chronique
-
Porphyrie aiguë, antécédent (de)
-
Sujet âgé
-
Traitement par AINS en cours
-
Ulcère gastrique
-
Ulcère gastroduodénal, antécédent (d')
Effets indésirables
Systèmes Fréquence de moyenne à élevée (≥1/1 000) Fréquence basse (<1/1 000) Fréquence inconnue ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE
Hyperprolactinémie
(Très rare)
Créatininémie (augmentation)
(Rare)
Bilan hépatique (anomalie)
(Rare)
Eosinophilie
Leucopénie
DERMATOLOGIE
Syndrome de Stevens-Johnson
(Très rare)
Urticaire
(Rare)
Photosensibilisation
(Très rare)
Syndrome de Lyell
(Très rare)
Eruption cutanée
(Rare)
Prurit
(Rare)
Alopécie
Erythème polymorphe
DIVERS
Fatigue
(Peu fréquent)
Douleur thoracique
(Rare)
Trouble sexuel
(Très rare)
Fièvre
(Rare)
Asthénie
(Rare)
ENDOCRINOLOGIE
Gynécomastie
(Cas isolés)
Galactorrhée
(Très rare)
HÉMATOLOGIE
Aplasie médullaire
(Très rare)
Agranulocytose
(Très rare)
Insuffisance de la moelle osseuse
(Très rare)
Formule sanguine (anomalie)
(Très rare)
Pancytopénie
(Très rare)
Thrombopénie
HÉPATOLOGIE
Exploration fonctionnelle hépatique (anomalie)
(Rare)
Hépatite cytolytique
(Très rare)
Hépatite cholestatique
(Très rare)
Ictère
(Très rare)
Hépatite mixte
(Très rare)
IMMUNO-ALLERGOLOGIE
Oedème de Quincke
(Rare)
Hypersensibilité
(Rare)
Choc anaphylactique
(Très rare)
OPHTALMOLOGIE
Mouvement oculaire involontaire
(Très rare)
Vision floue
(Très rare)
Trouble de l'accommodation
(Très rare)
ORL, STOMATOLOGIE
Sensation de vertige
(Très rare)
Vertige
(Très rare)
Laryngospasme
PSYCHIATRIE
Agitation
(Rare)
Hallucination
Dépression
Perte de la libido
Confusion mentale
SYSTÈME CARDIOVASCULAIRE
Arythmie
(Très rare)
Tachycardie
(Très rare)
Bradycardie
(Très rare)
Hypotension artérielle
(Rare)
Bradycardie sinusale
Vascularite
Pause sinusale
Bloc auriculoventriculaire
SYSTÈME DIGESTIF
Douleur abdominale
(Peu fréquent)
Vomissement
(Peu fréquent)
Crampe abdominale
(Peu fréquent)
Constipation
Nausée
Diarrhée
Pancréatite aiguë
SYSTÈME MUSCULO-SQUELETTIQUE
Trouble musculo-squelettique
(Très rare)
Douleur articulaire
(Très rare)
Douleur musculaire
SYSTÈME NERVEUX
Méningite aseptique
(Très rare)
Mouvement anormal
Myoclonie
Céphalée
Tremblement
SYSTÈME RESPIRATOIRE
Bronchospasme
(Rare)
Dyspnée
UROLOGIE, NÉPHROLOGIE
Néphropathie interstitielle aiguë
(Très rare)
Impuissance
Niveau de risque : | XCritique | IIIHaut | IIModéré | IBas |
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Interactions médicamenteusesIII
Haut
Niveau de gravité :
Association déconseillée
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Posaconazole (suspension buvable)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole.
II
Modéré
Niveau de gravité :
Précaution d'emploi
Colestipol + Médicaments administrés par voie orale
Résines chélatrices + Médicaments administrés par voie orale
Risques et mécanismes La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. Conduite à tenir D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible. Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants + Médicaments administrés par voie orale
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de ces substances.
Conduite à tenir Par mesure de précaution, il convient de prendre ces topiques ou antiacides à distance de tout autre médicament (plus de 2 heures, si possible).
I
Bas
Niveau de gravité :
A prendre en compte
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Abémaciclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Brigatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lorlatinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Axitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Bosutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cabozantinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Céritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobimétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Crizotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dabrafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dasatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Erlotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fostamatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Géfitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Giltéritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ibrutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Imatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lapatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Larotrectinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Nilotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Osimertinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Palbociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pazopanib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ponatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ribociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ruxolitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sorafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sunitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Upadacitinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobamamide (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cyanocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Hydroxocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Mécobalamine (voie orale)
Risques et mécanismes Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Itraconazole (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Kétoconazole (voie orale)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Rilpivirine
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de la rilpivirine. Conduite à tenir Si nécessaire, utiliser un antihistaminique H2 actif en une prise par jour, à prendre au moins 12 heures avant, ou au moins 4 heures après. Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ulipristal
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Atazanavir + Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique)
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir. Conduite à tenir Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)
Risques et mécanismes Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. Conduite à tenir Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.
Niveau de gravité :
Association déconseillée
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Posaconazole (suspension buvable)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole.
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Posaconazole (suspension buvable) | |
---|---|
Risques et mécanismes | Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. |
Conduite à tenir | Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole. |
Niveau de gravité :
Précaution d'emploi
Colestipol + Médicaments administrés par voie orale
Résines chélatrices + Médicaments administrés par voie orale
Risques et mécanismes La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. Conduite à tenir D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible. Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants + Médicaments administrés par voie orale
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de ces substances.
Conduite à tenir Par mesure de précaution, il convient de prendre ces topiques ou antiacides à distance de tout autre médicament (plus de 2 heures, si possible).
Colestipol + Médicaments administrés par voie orale Résines chélatrices + Médicaments administrés par voie orale | |
---|---|
Risques et mécanismes | La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. |
Conduite à tenir | D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible. |
Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants + Médicaments administrés par voie orale | |
Risques et mécanismes | Diminution de l'absorption de ces substances. |
Conduite à tenir | Par mesure de précaution, il convient de prendre ces topiques ou antiacides à distance de tout autre médicament (plus de 2 heures, si possible). |
Niveau de gravité :
A prendre en compte
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Abémaciclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Brigatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lorlatinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Axitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Bosutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cabozantinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Céritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobimétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Crizotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dabrafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dasatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Erlotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fostamatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Géfitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Giltéritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ibrutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Imatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lapatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Larotrectinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Nilotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Osimertinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Palbociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pazopanib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ponatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ribociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ruxolitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sorafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sunitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Upadacitinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobamamide (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cyanocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Hydroxocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Mécobalamine (voie orale)
Risques et mécanismes Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Itraconazole (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Kétoconazole (voie orale)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Rilpivirine
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de la rilpivirine. Conduite à tenir Si nécessaire, utiliser un antihistaminique H2 actif en une prise par jour, à prendre au moins 12 heures avant, ou au moins 4 heures après. Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ulipristal
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Atazanavir + Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique)
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir. Conduite à tenir Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)
Risques et mécanismes Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. Conduite à tenir Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Abémaciclib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Brigatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lorlatinib | |
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Risques et mécanismes | Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Axitinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Bosutinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cabozantinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Céritinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobimétinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Crizotinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dabrafénib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dasatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Erlotinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fostamatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Géfitinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Giltéritinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ibrutinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Imatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lapatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Larotrectinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Nilotinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Osimertinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Palbociclib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pazopanib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ponatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ribociclib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ruxolitinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sorafénib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sunitinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Upadacitinib | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobamamide (voie orale) Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cyanocobalamine (voie orale) Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Hydroxocobalamine (voie orale) Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Mécobalamine (voie orale) | |
Risques et mécanismes | Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Itraconazole (voie orale) Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Kétoconazole (voie orale) | |
Risques et mécanismes | Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Rilpivirine | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution des concentrations plasmatiques de la rilpivirine. |
Conduite à tenir | Si nécessaire, utiliser un antihistaminique H2 actif en une prise par jour, à prendre au moins 12 heures avant, ou au moins 4 heures après. |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ulipristal | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. |
Conduite à tenir | |
Atazanavir + Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir. |
Conduite à tenir | |
Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol) | |
Risques et mécanismes | Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. |
Conduite à tenir | Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen. |
Contre-indicationsX
Critique
Niveau de gravité :
Contre-indication absolue
-
Hypersensibilité à l'un des composants
-
Hypersensibilité aux antihistaminiques H2
Niveau de gravité :
Contre-indication absolue
-
Hypersensibilité à l'un des composants
-
Hypersensibilité aux antihistaminiques H2
|
PrécautionsIIModéréNiveau de gravité : Précautions-
Antécédent de porphyrie aiguë intermittente
-
Déficit immunitaire
-
Diabète
-
Enfant de moins de 30 kg
-
Enfant de moins de 6 ans
-
Insuffisance hépatique sévère
-
Insuffisance rénale
-
Pneumopathie chronique
-
Porphyrie aiguë, antécédent (de)
-
Sujet âgé
-
Traitement par AINS en cours
-
Ulcère gastrique
-
Ulcère gastroduodénal, antécédent (d')
Niveau de gravité : Précautions-
Antécédent de porphyrie aiguë intermittente
-
Déficit immunitaire
-
Diabète
-
Enfant de moins de 30 kg
-
Enfant de moins de 6 ans
-
Insuffisance hépatique sévère
-
Insuffisance rénale
-
Pneumopathie chronique
-
Porphyrie aiguë, antécédent (de)
-
Sujet âgé
-
Traitement par AINS en cours
-
Ulcère gastrique
-
Ulcère gastroduodénal, antécédent (d')
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Effets indésirables
Systèmes | Fréquence de moyenne à élevée (≥1/1 000) | Fréquence basse (<1/1 000) | Fréquence inconnue |
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ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE | |||
DERMATOLOGIE | |||
DIVERS | |||
ENDOCRINOLOGIE | |||
HÉMATOLOGIE | |||
HÉPATOLOGIE | |||
IMMUNO-ALLERGOLOGIE | |||
OPHTALMOLOGIE | |||
ORL, STOMATOLOGIE | |||
PSYCHIATRIE | |||
SYSTÈME CARDIOVASCULAIRE | |||
SYSTÈME DIGESTIF | |||
SYSTÈME MUSCULO-SQUELETTIQUE | |||
SYSTÈME NERVEUX | |||
SYSTÈME RESPIRATOIRE | |||
UROLOGIE, NÉPHROLOGIE |
Voir aussi les substances
Ranitidine chlorhydrate
Chimie
IUPAC | chlorhydrate de N-2-[[[-5-[(diméthylamino)méthyl]-2-furanyl]méthyll]thio]éthyl]-N'-méthyl-2-nitro-1,1-éthènediamine |
---|---|
Synonymes | ranitidine hydrochloride |
Posologie
Defined Daily Dose (WHO) |
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