L'octréotide est un octapeptide de synthèse, dérivant de la somatostatine naturelle, possédant les mêmes effets pharmacologiques et dont la durée d'action est nettement prolongée. Il inhibe l'augmentation pathologique de la sécrétion de l'hormone de croissance (GH) ainsi que de peptides et de la sérotonine produits par le système endocrinien gastro-entéro-pancréatique (GEP).
Chez l'animal, l'octréotide est, par rapport à la somatostatine, un inhibiteur plus puissant de la sécrétion de GH, de glucagon et d'insuline, avec une plus grande sélectivité pour l'inhibition de la GH et du glucagon.
Chez le sujet sain, il a été constaté que l’octréotide inhibait :
- la libération de la GH stimulée par l'arginine, par l'exercice ou par l'hypoglycémie induite par l'insuline ;
- la libération post-prandiale d'insuline, de glucagon, de gastrine et d'autres peptides du système endocrinien GEP, de même que la libération d'insuline et de glucagon provoquée par l'arginine ;
- la libération d'hormone thyréotrope (TSH) induite par la TRH.
Contrairement à la somatostatine, l'octréotide inhibe la sécrétion de GH préférentiellement à celle de l'insuline et son administration n'est pas suivie d'un rebond de sécrétion hormonale.
Octréotide (acétate) 100 µg/ml solution injectable/pour perfusion
ATC | Risque sur la grossesse et l'allaitement | Dopant | Vigilance | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
H - HORMONES SYSTEMIQUES, HORMONES SEXUELLES EXCLUES
H01 - HORMONES HYPOPHYSAIRES, HYPOTHALAMIQUES ET ANALOGUES
H01C - HORMONES HYPOTHALAMIQUES
H01CB - SOMATOSTATINE ET ANALOGUES
H01CB02 - OCTREOTIDE
|
|
INDICATIONS ET MODALITÉS D'ADMINISTRATION
OCTREOTIDE (acétate) 100 µg/ml sol inj/p perf
Indications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
-
Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
-
Acromégalie en cas d'adénome inopérable
-
Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie
-
Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
-
Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l')
-
Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
-
Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l')
-
Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
-
Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
-
Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie
-
Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
-
Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des)
-
Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de)
-
Glucagonome
-
Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la)
-
Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la)
-
Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des)
-
Tumeur carcinoïde
-
Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
-
Vipome
Posologie
Unité de prise
ml
-
octréotide (acétate) : 100 µg
Modalités d'administration
-
Voie intraveineuse (en perfusion), voie sous-cutanée
Posologie
Patient à partir de 15 an(s)
Patient quel que soit le poids
Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Acromégalie en cas d'adénome inopérable - Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie - Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
50 à 100 µg toutes les 8 à 12 heures
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Traitement à arrêter en cas d'absence d'amélioration clinique dans les 3 mois
-
Traitement à réévaluer tous les 6 mois
-
50 à 500 µg toutes les 8 à 12 heures
-
Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Glucagonome - Tumeur endocrine gastroentéropancréatique - Vipome
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Administrer matin et soir
-
Ne pas diluer
-
50 µg toutes les 12 heures
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
50 à 200 µg toutes les 12 heures
Tumeur carcinoïde
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Traitement à réévaluer en cas d'absence d'amélioration des symptômes dans les 7 jours
-
200 à 500 µg toutes les 8 heures
-
Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des) - Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de)
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Administrer 1 heure avant l'intervention chirurgicale
-
Débuter le traitement au moins 1 heure avant l'intervention chirurgicale
-
Ne pas diluer
-
100 µg 3 fois par jour
-
Pendant 7 jours
Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la) - Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la)
Posologie standard
-
Voie intraveineuse (en perfusion)
-
A diluer avant administration
-
Administrer en perfusion continue
-
25 à 50 µg 1 fois par heure
-
Pendant 5 jours
Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
-
100 µg 3 fois par jour
-
Ne pas administrer moins de 5 jours.
Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l') - Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l')
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
-
100 µg 3 fois par jour
Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des)
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
100 µg 3 fois par jour
Traitement ultérieur éventuel
-
Dans le cas de : Patient faiblement répondeur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
200 µg 3 fois par jour
Modalités d'administration du traitement
-
Administrer en variant le site d'injection
-
Posologie à adapter à l'état du patient
Incompatibilités physico-chimiques
-
Compatibilité avec certains solvants
-
Incompatibilité avec tous les médicaments
Indications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
- Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Acromégalie en cas d'adénome inopérable
- Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie
- Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
- Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l')
- Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l')
- Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie
- Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
- Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des)
- Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de)
- Glucagonome
- Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la)
- Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la)
- Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des)
- Tumeur carcinoïde
- Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
- Vipome
Posologie
Unité de prise
ml
-
octréotide (acétate) : 100 µg
Modalités d'administration
-
Voie intraveineuse (en perfusion), voie sous-cutanée
Posologie
Patient à partir de 15 an(s)
Patient quel que soit le poids
Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Acromégalie en cas d'adénome inopérable - Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie - Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
50 à 100 µg toutes les 8 à 12 heures
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Traitement à arrêter en cas d'absence d'amélioration clinique dans les 3 mois
-
Traitement à réévaluer tous les 6 mois
-
50 à 500 µg toutes les 8 à 12 heures
-
Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Glucagonome - Tumeur endocrine gastroentéropancréatique - Vipome
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Administrer matin et soir
-
Ne pas diluer
-
50 µg toutes les 12 heures
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
50 à 200 µg toutes les 12 heures
Tumeur carcinoïde
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Traitement à réévaluer en cas d'absence d'amélioration des symptômes dans les 7 jours
-
200 à 500 µg toutes les 8 heures
-
Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des) - Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de)
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Administrer 1 heure avant l'intervention chirurgicale
-
Débuter le traitement au moins 1 heure avant l'intervention chirurgicale
-
Ne pas diluer
-
100 µg 3 fois par jour
-
Pendant 7 jours
Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la) - Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la)
Posologie standard
-
Voie intraveineuse (en perfusion)
-
A diluer avant administration
-
Administrer en perfusion continue
-
25 à 50 µg 1 fois par heure
-
Pendant 5 jours
Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
-
100 µg 3 fois par jour
-
Ne pas administrer moins de 5 jours.
Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l') - Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l')
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
-
100 µg 3 fois par jour
Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des)
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
100 µg 3 fois par jour
Traitement ultérieur éventuel
-
Dans le cas de : Patient faiblement répondeur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
200 µg 3 fois par jour
Unité de prise
ml
-
octréotide (acétate) : 100 µg
Modalités d'administration
-
Voie intraveineuse (en perfusion), voie sous-cutanée
Posologie
Patient à partir de 15 an(s)
Patient quel que soit le poids
Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Acromégalie en cas d'adénome inopérable - Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie - Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
50 à 100 µg toutes les 8 à 12 heures
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Traitement à arrêter en cas d'absence d'amélioration clinique dans les 3 mois
-
Traitement à réévaluer tous les 6 mois
-
50 à 500 µg toutes les 8 à 12 heures
-
Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Glucagonome - Tumeur endocrine gastroentéropancréatique - Vipome
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Administrer matin et soir
-
Ne pas diluer
-
50 µg toutes les 12 heures
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
50 à 200 µg toutes les 12 heures
Tumeur carcinoïde
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Traitement à réévaluer en cas d'absence d'amélioration des symptômes dans les 7 jours
-
200 à 500 µg toutes les 8 heures
-
Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des) - Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de)
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Administrer 1 heure avant l'intervention chirurgicale
-
Débuter le traitement au moins 1 heure avant l'intervention chirurgicale
-
Ne pas diluer
-
100 µg 3 fois par jour
-
Pendant 7 jours
Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la) - Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la)
Posologie standard
-
Voie intraveineuse (en perfusion)
-
A diluer avant administration
-
Administrer en perfusion continue
-
25 à 50 µg 1 fois par heure
-
Pendant 5 jours
Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
-
100 µg 3 fois par jour
-
Ne pas administrer moins de 5 jours.
Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l') - Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l')
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
-
100 µg 3 fois par jour
Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des)
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
100 µg 3 fois par jour
Traitement ultérieur éventuel
-
Dans le cas de : Patient faiblement répondeur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
200 µg 3 fois par jour
- Voie intraveineuse (en perfusion), voie sous-cutanée
Posologie
Patient à partir de 15 an(s)
Patient quel que soit le poids
Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Acromégalie en cas d'adénome inopérable - Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie - Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
50 à 100 µg toutes les 8 à 12 heures
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Traitement à arrêter en cas d'absence d'amélioration clinique dans les 3 mois
-
Traitement à réévaluer tous les 6 mois
-
50 à 500 µg toutes les 8 à 12 heures
-
Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Glucagonome - Tumeur endocrine gastroentéropancréatique - Vipome
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Administrer matin et soir
-
Ne pas diluer
-
50 µg toutes les 12 heures
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
50 à 200 µg toutes les 12 heures
Tumeur carcinoïde
Traitement ultérieur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Traitement à réévaluer en cas d'absence d'amélioration des symptômes dans les 7 jours
-
200 à 500 µg toutes les 8 heures
-
Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des) - Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de)
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Administrer 1 heure avant l'intervention chirurgicale
-
Débuter le traitement au moins 1 heure avant l'intervention chirurgicale
-
Ne pas diluer
-
100 µg 3 fois par jour
-
Pendant 7 jours
Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la) - Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la)
Posologie standard
-
Voie intraveineuse (en perfusion)
-
A diluer avant administration
-
Administrer en perfusion continue
-
25 à 50 µg 1 fois par heure
-
Pendant 5 jours
Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
-
100 µg 3 fois par jour
-
Ne pas administrer moins de 5 jours.
Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l') - Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l')
Posologie standard
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
-
100 µg 3 fois par jour
Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des)
Traitement initial
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
100 µg 3 fois par jour
Traitement ultérieur éventuel
-
Dans le cas de : Patient faiblement répondeur
-
Voie sous-cutanée
-
Ne pas diluer
-
200 µg 3 fois par jour
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 100 µg toutes les 8 à 12 heures
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à arrêter en cas d'absence d'amélioration clinique dans les 3 mois
- Traitement à réévaluer tous les 6 mois
- 50 à 500 µg toutes les 8 à 12 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
- Voie sous-cutanée
- Administrer matin et soir
- Ne pas diluer
- 50 µg toutes les 12 heures
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 200 µg toutes les 12 heures
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à réévaluer en cas d'absence d'amélioration des symptômes dans les 7 jours
- 200 à 500 µg toutes les 8 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
- Voie sous-cutanée
- Administrer 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Débuter le traitement au moins 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
- Pendant 7 jours
- Voie intraveineuse (en perfusion)
- A diluer avant administration
- Administrer en perfusion continue
- 25 à 50 µg 1 fois par heure
- Pendant 5 jours
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
- Ne pas administrer moins de 5 jours.
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
- Dans le cas de : Patient faiblement répondeur
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 200 µg 3 fois par jour
Modalités d'administration du traitement
-
Administrer en variant le site d'injection
-
Posologie à adapter à l'état du patient
Incompatibilités physico-chimiques
-
Compatibilité avec certains solvants
-
Incompatibilité avec tous les médicaments
INFORMATIONS RELATIVES À LA SÉCURITÉ DU PATIENT
OCTREOTIDE (acétate) 100 µg/ml sol inj/p perf
Niveau de risque :
X
Critique
III
Haut
II
Modéré
I
Bas
Contre-indications
X
Critique
Niveau de gravité :
Contre-indication absolue
-
Allaitement
-
Grossesse
-
Hypersensibilité à l'un des composants
-
Hypersensibilité à la somatostatine et à ses analogues
Précautions
II
Modéré
Niveau de gravité : Précautions
-
Acromégalie
-
Carence en vitamine B12, antécédent (de)
-
Cirrhose hépatique
-
Diabète
-
Enfant de moins de 15 ans
-
Femme susceptible d'être enceinte
-
Insulinome
-
Patient traité par voie sous-cutanée
-
Traitement prolongé
-
Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
-
Tumeur hypophysaire
-
Varices oesophagiennes
Interactions médicamenteuses
II
Modéré
Niveau de gravité :
Précaution d'emploi
Analogues de la somatostatine +
Ciclosporine (voie orale)
Risques et mécanismes
Avec la ciclosporine administrée par voie orale : baisse des concentrations sanguines de ciclosporine (diminution de son absorption intestinale).
Conduite à tenir
Augmentation des doses de ciclosporine sous contrôle des concentrations plasmatiques et réduction de la posologie après l'arrêt du traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Insuline
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en insuline, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Prévenir le patient du risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie, renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de l'insuline pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Pioglitazone
Analogues de la somatostatine +
Rosiglitazone
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Répaglinide
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en repaglinide, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la répaglidine pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Sulfamides hypoglycémiants
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en sulfamide hypoglycemiant, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie du sulfamide hypoglycémiant pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Grossesse et allaitement
Contre-indications et précautions d'emploi
Grossesse (mois)
Allaitement
1
2
3
4
5
6
7
8
9
Risques
X
X
X
Contre-indication absolue
Fertilité et Grossesse
-
Risque sur la fertilité
-
Utiliser chez la femme une contraception efficace avant la mise en route du traitement
Risques liés au traitement
-
Risque d'hyperglycémie
-
Risque d'hypoglycémie
-
Risque d'intolérance au glucose
-
Risque de boue biliaire
-
Risque de bradycardie
-
Risque de cholangite
-
Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
-
Risque de diminution de l'absorption des lipides alimentaires
-
Risque de fluctuation de la glycémie
-
Risque de lithiase biliaire
-
Risque de stéatorrhée
-
Risque de trouble de la glycorégulation
Surveillances du patient
-
Surveillance de la fonction hépatique pendant le traitement
-
Surveillance de la glycémie pendant le traitement
-
Surveillance échographique de la vésicule biliaire avant la mise en route du traitement
-
Surveillance échographique de la vésicule biliaire tous les 6 à 12 mois pendant le traitement
Information des professionnels de santé et des patients
-
S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur intestinale obstructive
Effets indésirables
Systèmes
Fréquence de moyenne à élevée (≥1/1 000)
Fréquence basse (<1/1 000)
Fréquence inconnue
ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE
Hyperglycémie
(Très fréquent)
Transaminases (augmentation)
(Fréquent)
Hypoglycémie
(Fréquent)
Hyperbilirubinémie
Phosphatases alcalines (augmentation)
Gamma GT (augmentation)
TSH (diminution)
T4 (diminution)
DERMATOLOGIE
Prurit
(Fréquent)
Eruption cutanée
Alopécie
Urticaire
DIVERS
Asthénie
(Fréquent)
ENDOCRINOLOGIE
Hypothyroïdie
(Fréquent)
Dysthyroïdie
HÉMATOLOGIE
Thrombopénie
(Imputabilité incertaine)
HÉPATOLOGIE
Cholécystite
(Fréquent)
Lithiase biliaire
(Très fréquent)
Trouble hépatique
(Fréquent)
Affection de la vésicule biliaire
(Fréquent)
Boue biliaire
(Fréquent)
Hépatite aiguë
Ictère cholestatique
Cholestase
Ictère
Hépatite cholestatique
IMMUNO-ALLERGOLOGIE
Choc anaphylactique
(Cas isolés)
Réaction anaphylactique
Hypersensibilité
INSTRUMENTATION
Picotement au site d'injection
Inflammation au site d'injection
Oedème au point d'injection
Erythème au point d'injection
Douleur au point d'injection
Sensation de brûlure au point d'injection
Eruption cutanée au point d'injection
Réaction au point d'injection
NUTRITION, MÉTABOLISME
Déshydratation
(Peu fréquent)
Anorexie
(Fréquent)
Trouble métabolique
(Fréquent)
Intolérance au glucose
(Fréquent)
Métabolisme glucidique (perturbation)
(Rare)
ORL, STOMATOLOGIE
Sensation de vertige
(Fréquent)
Vertige
SYSTÈME CARDIOVASCULAIRE
Bradycardie
(Fréquent)
Tachycardie
(Peu fréquent)
Arythmie
Anomalie de l'électrocardiogramme
SYSTÈME DIGESTIF
Constipation
(Très fréquent)
Selle molle
(Fréquent)
Décoloration des selles
(Fréquent)
Vomissement
(Fréquent)
Ballonnement
(Fréquent)
Dyspepsie
(Fréquent)
Flatulence
(Très fréquent)
Nausée
(Très fréquent)
Diarrhée
(Très fréquent)
Douleur abdominale
(Très fréquent)
Stéatorrhée
(Fréquent)
Sensation d'inconfort abdominal
(Rare)
Occlusion intestinale
(Rare)
Douleur épigastrique
(Rare)
Distension abdominale
(Rare)
Météorisme
Pancréatite
Trouble digestif
Pancréatite aiguë
SYSTÈME NERVEUX
Céphalée
(Très fréquent)
Trouble neurologique
(Fréquent)
SYSTÈME RESPIRATOIRE
Dyspnée
(Fréquent)
Niveau de risque : | X Critique | III Haut | II Modéré | I Bas |
---|
Contre-indications
X
Critique
Niveau de gravité :
Contre-indication absolue
-
Allaitement
-
Grossesse
-
Hypersensibilité à l'un des composants
-
Hypersensibilité à la somatostatine et à ses analogues
Niveau de gravité :
Contre-indication absolue
-
Allaitement
-
Grossesse
-
Hypersensibilité à l'un des composants
-
Hypersensibilité à la somatostatine et à ses analogues
|
Précautions
II
Modéré
Niveau de gravité : Précautions
-
Acromégalie
-
Carence en vitamine B12, antécédent (de)
-
Cirrhose hépatique
-
Diabète
-
Enfant de moins de 15 ans
-
Femme susceptible d'être enceinte
-
Insulinome
-
Patient traité par voie sous-cutanée
-
Traitement prolongé
-
Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
-
Tumeur hypophysaire
-
Varices oesophagiennes
Niveau de gravité : Précautions
-
Acromégalie
-
Carence en vitamine B12, antécédent (de)
-
Cirrhose hépatique
-
Diabète
-
Enfant de moins de 15 ans
-
Femme susceptible d'être enceinte
-
Insulinome
-
Patient traité par voie sous-cutanée
-
Traitement prolongé
-
Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
-
Tumeur hypophysaire
-
Varices oesophagiennes
|
Interactions médicamenteuses
II
Modéré
Niveau de gravité :
Précaution d'emploi
Analogues de la somatostatine +
Ciclosporine (voie orale)
Risques et mécanismes
Avec la ciclosporine administrée par voie orale : baisse des concentrations sanguines de ciclosporine (diminution de son absorption intestinale).
Conduite à tenir
Augmentation des doses de ciclosporine sous contrôle des concentrations plasmatiques et réduction de la posologie après l'arrêt du traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Insuline
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en insuline, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Prévenir le patient du risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie, renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de l'insuline pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Pioglitazone
Analogues de la somatostatine +
Rosiglitazone
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Répaglinide
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en repaglinide, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la répaglidine pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Sulfamides hypoglycémiants
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en sulfamide hypoglycemiant, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie du sulfamide hypoglycémiant pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Niveau de gravité :
Précaution d'emploi
Analogues de la somatostatine +
Ciclosporine (voie orale)
Risques et mécanismes
Avec la ciclosporine administrée par voie orale : baisse des concentrations sanguines de ciclosporine (diminution de son absorption intestinale).
Conduite à tenir
Augmentation des doses de ciclosporine sous contrôle des concentrations plasmatiques et réduction de la posologie après l'arrêt du traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Insuline
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en insuline, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Prévenir le patient du risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie, renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de l'insuline pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Pioglitazone
Analogues de la somatostatine +
Rosiglitazone
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Répaglinide
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en repaglinide, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la répaglidine pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine +
Sulfamides hypoglycémiants
Risques et mécanismes
Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en sulfamide hypoglycemiant, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène.
Conduite à tenir
Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie du sulfamide hypoglycémiant pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine + Ciclosporine (voie orale) |
|
---|---|
Risques et mécanismes | Avec la ciclosporine administrée par voie orale : baisse des concentrations sanguines de ciclosporine (diminution de son absorption intestinale). |
Conduite à tenir | Augmentation des doses de ciclosporine sous contrôle des concentrations plasmatiques et réduction de la posologie après l'arrêt du traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Analogues de la somatostatine + Insuline |
|
Risques et mécanismes | Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en insuline, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. |
Conduite à tenir | Prévenir le patient du risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie, renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de l'insuline pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Analogues de la somatostatine + Pioglitazone Analogues de la somatostatine + Rosiglitazone |
|
Risques et mécanismes | Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. |
Conduite à tenir | Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Analogues de la somatostatine + Répaglinide |
|
Risques et mécanismes | Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en repaglinide, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. |
Conduite à tenir | Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la répaglidine pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Analogues de la somatostatine + Sulfamides hypoglycémiants |
|
Risques et mécanismes | Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en sulfamide hypoglycemiant, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. |
Conduite à tenir | Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie du sulfamide hypoglycémiant pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Grossesse et allaitement
Contre-indications et précautions d'emploi | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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|
Fertilité et Grossesse
-
Risque sur la fertilité
-
Utiliser chez la femme une contraception efficace avant la mise en route du traitement
Risques liés au traitement
-
Risque d'hyperglycémie
-
Risque d'hypoglycémie
-
Risque d'intolérance au glucose
-
Risque de boue biliaire
-
Risque de bradycardie
-
Risque de cholangite
-
Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
-
Risque de diminution de l'absorption des lipides alimentaires
-
Risque de fluctuation de la glycémie
-
Risque de lithiase biliaire
-
Risque de stéatorrhée
-
Risque de trouble de la glycorégulation
Surveillances du patient
-
Surveillance de la fonction hépatique pendant le traitement
-
Surveillance de la glycémie pendant le traitement
-
Surveillance échographique de la vésicule biliaire avant la mise en route du traitement
-
Surveillance échographique de la vésicule biliaire tous les 6 à 12 mois pendant le traitement
Information des professionnels de santé et des patients
-
S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur intestinale obstructive
Effets indésirables
Systèmes | Fréquence de moyenne à élevée (≥1/1 000) | Fréquence basse (<1/1 000) | Fréquence inconnue |
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ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE |
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DERMATOLOGIE |
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DIVERS |
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ENDOCRINOLOGIE |
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HÉMATOLOGIE |
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HÉPATOLOGIE |
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IMMUNO-ALLERGOLOGIE |
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|
INSTRUMENTATION |
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NUTRITION, MÉTABOLISME |
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ORL, STOMATOLOGIE |
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SYSTÈME CARDIOVASCULAIRE |
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|
SYSTÈME DIGESTIF |
|
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|
SYSTÈME NERVEUX |
|
||
SYSTÈME RESPIRATOIRE |
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Voir aussi les substances
octréotide acétate
Chimie
IUPAC | disulfure cyclique-(2->7) de D-phénylalanyl-L-cystéinyl-L-phénylalanyl-D-tryptophyl-L-lysyl-L-thréonyl-[N-[hydroxy-2(hydroxyméthyl)-1propyl-(1R,2R)-L-cystéinamide |
---|---|
Synonymes | octreotide acetate |
Posologie
Defined Daily Dose (WHO) |
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