Octréotide : Mécanisme d'action
L'octréotide est un octapeptide de synthèse, dérivant de la somatostatine naturelle, possédant les mêmes effets pharmacologiques et dont la durée d'action est nettement prolongée. Il inhibe l'augmentation pathologique de la sécrétion de l'hormone de croissance (GH) ainsi que de peptides et de la sérotonine produits par le système endocrinien gastro-entéro-pancréatique (GEP).
Chez l'animal, l'octréotide est, par rapport à la somatostatine, un inhibiteur plus puissant de la sécrétion de GH, de glucagon et d'insuline, avec une plus grande sélectivité pour l'inhibition de la GH et du glucagon.
Chez le sujet sain, il a été constaté que l’octréotide inhibait :
- la libération de la GH stimulée par l'arginine, par l'exercice ou par l'hypoglycémie induite par l'insuline ;
- la libération post-prandiale d'insuline, de glucagon, de gastrine et d'autres peptides du système endocrinien GEP, de même que la libération d'insuline et de glucagon provoquée par l'arginine ;
- la libération d'hormone thyréotrope (TSH) induite par la TRH.
Contrairement à la somatostatine, l'octréotide inhibe la sécrétion de GH préférentiellement à celle de l'insuline et son administration n'est pas suivie d'un rebond de sécrétion hormonale.
Octréotide : Cas d'usage
- acromégalies,
- tumeurs endocrines gastro-entéro-pancréatiques fonctionnelles (tumeurs carcinoïdes, VIPomes, glucagonomes, gastrinomes/syndrome de Zollinger-Ellison, insulinomes),
- complications de la chirurgie pancréatique,
- adénomes thyréotropes,
- ruptures de varices œsophagiennes.
Gammes contenant la substance
Octréotide (acétate) 100 µg/ml solution injectable/pour perfusion
ATC | Risque sur la grossesse et l'allaitement | Sport | Vigilance | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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H HORMONES SYSTEMIQUES, HORMONES SEXUELLES EXCLUES H01 HORMONES HYPOPHYSAIRES, HYPOTHALAMIQUES ET ANALOGUES H01C HORMONES HYPOTHALAMIQUES H01CB SOMATOSTATINE ET ANALOGUES H01CB02 OCTREOTIDE |
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Indications et modalités d'administrationOCTREOTIDE (acétate) 100 µg/ml sol inj/p perfIndications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
- Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Acromégalie en cas d'adénome inopérable
- Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie
- Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
- Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l')
- Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l')
- Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie
- Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
- Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des)
- Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de)
- Glucagonome
- Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la)
- Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la)
- Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des)
- Tumeur carcinoïde
- Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
- Vipome
Posologie
Unité de prise ml - octréotide (acétate) : 100 µg
Modalités d'administration - Voie intraveineuse (en perfusion), voie sous-cutanée
Posologie Patient à partir de 15 an(s) Patient quel que soit le poids Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Acromégalie en cas d'adénome inopérable - Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie - Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie Traitement initial - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 100 µg toutes les 8 à 12 heures
Traitement ultérieur - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à arrêter en cas d'absence d'amélioration clinique dans les 3 mois
- Traitement à réévaluer tous les 6 mois
- 50 à 500 µg toutes les 8 à 12 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Glucagonome - Tumeur endocrine gastroentéropancréatique - Vipome Traitement initial - Voie sous-cutanée
- Administrer matin et soir
- Ne pas diluer
- 50 µg toutes les 12 heures
Traitement ultérieur - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 200 µg toutes les 12 heures
Tumeur carcinoïde Traitement ultérieur - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à réévaluer en cas d'absence d'amélioration des symptômes dans les 7 jours
- 200 à 500 µg toutes les 8 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des) - Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de) Posologie standard - Voie sous-cutanée
- Administrer 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Débuter le traitement au moins 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
- Pendant 7 jours
Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la) - Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la) Posologie standard - Voie intraveineuse (en perfusion)
- A diluer avant administration
- Administrer en perfusion continue
- 25 à 50 µg 1 fois par heure
- Pendant 5 jours
Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie Posologie standard - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
- Ne pas administrer moins de 5 jours.
Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l') - Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l') Posologie standard - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des) Traitement initial - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
Traitement ultérieur éventuel - Dans le cas de : Patient faiblement répondeur
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 200 µg 3 fois par jour
Mises en garde- Administrer en variant le site d'injection
- Posologie à adapter à l'état du patient
- Risque sur la fertilité
- S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur intestinale obstructive
- Utiliser chez la femme une contraception efficace avant la mise en route du traitement
Incompatibilités physicochimiques- Compatibilité avec certains solvants
- Incompatibilité avec tous les médicaments
Surveillances du traitement- Surveillance de la fonction hépatique pendant le traitement
- Surveillance de la glycémie pendant le traitement
- Surveillance échographique de la vésicule biliaire avant la mise en route du traitement
- Surveillance échographique de la vésicule biliaire tous les 6 à 12 mois pendant le traitement
Indications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
- Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Acromégalie en cas d'adénome inopérable
- Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie
- Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
- Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l')
- Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l')
- Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie
- Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie
- Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie
- Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des)
- Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de)
- Glucagonome
- Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la)
- Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la)
- Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des)
- Tumeur carcinoïde
- Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
- Vipome
Posologie
Unité de prise ml - octréotide (acétate) : 100 µg
Modalités d'administration - Voie intraveineuse (en perfusion), voie sous-cutanée
Posologie Patient à partir de 15 an(s) Patient quel que soit le poids Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Acromégalie en cas d'adénome inopérable - Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie - Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie Traitement initial - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 100 µg toutes les 8 à 12 heures
Traitement ultérieur - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à arrêter en cas d'absence d'amélioration clinique dans les 3 mois
- Traitement à réévaluer tous les 6 mois
- 50 à 500 µg toutes les 8 à 12 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Glucagonome - Tumeur endocrine gastroentéropancréatique - Vipome Traitement initial - Voie sous-cutanée
- Administrer matin et soir
- Ne pas diluer
- 50 µg toutes les 12 heures
Traitement ultérieur - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 200 µg toutes les 12 heures
Tumeur carcinoïde Traitement ultérieur - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à réévaluer en cas d'absence d'amélioration des symptômes dans les 7 jours
- 200 à 500 µg toutes les 8 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des) - Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de) Posologie standard - Voie sous-cutanée
- Administrer 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Débuter le traitement au moins 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
- Pendant 7 jours
Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la) - Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la) Posologie standard - Voie intraveineuse (en perfusion)
- A diluer avant administration
- Administrer en perfusion continue
- 25 à 50 µg 1 fois par heure
- Pendant 5 jours
Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie Posologie standard - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
- Ne pas administrer moins de 5 jours.
Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l') - Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l') Posologie standard - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des) Traitement initial - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
Traitement ultérieur éventuel - Dans le cas de : Patient faiblement répondeur
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 200 µg 3 fois par jour
- Voie intraveineuse (en perfusion), voie sous-cutanée
Posologie Patient à partir de 15 an(s) Patient quel que soit le poids Acromégalie dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Acromégalie en cas d'adénome inopérable - Acromégalie en cas de non indication de la chirurgie - Acromégalie en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie Traitement initial - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 100 µg toutes les 8 à 12 heures
Traitement ultérieur - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à arrêter en cas d'absence d'amélioration clinique dans les 3 mois
- Traitement à réévaluer tous les 6 mois
- 50 à 500 µg toutes les 8 à 12 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Glucagonome - Tumeur endocrine gastroentéropancréatique - Vipome Traitement initial - Voie sous-cutanée
- Administrer matin et soir
- Ne pas diluer
- 50 µg toutes les 12 heures
Traitement ultérieur - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 200 µg toutes les 12 heures
Tumeur carcinoïde Traitement ultérieur - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à réévaluer en cas d'absence d'amélioration des symptômes dans les 7 jours
- 200 à 500 µg toutes les 8 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
Complications après chirurgie pancréatique, traitement préventif (des) - Fistule pancréatique après chirurgie d'exérèse, traitement préventif (de) Posologie standard - Voie sous-cutanée
- Administrer 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Débuter le traitement au moins 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
- Pendant 7 jours
Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement d'urgence (de la) - Rupture des varices oesophagiennes chez le patient cirrhotique, traitement préventif (de la) Posologie standard - Voie intraveineuse (en perfusion)
- A diluer avant administration
- Administrer en perfusion continue
- 25 à 50 µg 1 fois par heure
- Pendant 5 jours
Adénome thyréotrope primitif dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de non indication de la chirurgie ou de la radiothérapie - Adénome thyréotrope primitif en cas de réponse insuffisante après chirurgie et/ou radiothérapie Posologie standard - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
- Ne pas administrer moins de 5 jours.
Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson ds l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome corticotrope au cours du syndrome de Nelson, traitement de 2e intention (de l') - Adénome gonadotrope fonctionnel dans l'attente de l'efficacité de la radiothérapie - Adénome gonadotrope fonctionnel, traitement de 2e intention (de l') Posologie standard - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
Troubles visuels liés à une compression des voies optiques, traitement symptomatique (des) Traitement initial - Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
Traitement ultérieur éventuel - Dans le cas de : Patient faiblement répondeur
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 200 µg 3 fois par jour
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 100 µg toutes les 8 à 12 heures
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à arrêter en cas d'absence d'amélioration clinique dans les 3 mois
- Traitement à réévaluer tous les 6 mois
- 50 à 500 µg toutes les 8 à 12 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
- Voie sous-cutanée
- Administrer matin et soir
- Ne pas diluer
- 50 µg toutes les 12 heures
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 50 à 200 µg toutes les 12 heures
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Traitement à réévaluer en cas d'absence d'amélioration des symptômes dans les 7 jours
- 200 à 500 µg toutes les 8 heures
- Posologie maximale: 1 500 µg par jour
- Voie sous-cutanée
- Administrer 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Débuter le traitement au moins 1 heure avant l'intervention chirurgicale
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
- Pendant 7 jours
- Voie intraveineuse (en perfusion)
- A diluer avant administration
- Administrer en perfusion continue
- 25 à 50 µg 1 fois par heure
- Pendant 5 jours
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
- Ne pas administrer moins de 5 jours.
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- Posologie à adapter en fonction de la réponse clinique
- 100 µg 3 fois par jour
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 100 µg 3 fois par jour
- Dans le cas de : Patient faiblement répondeur
- Voie sous-cutanée
- Ne pas diluer
- 200 µg 3 fois par jour
Mises en garde- Administrer en variant le site d'injection
- Posologie à adapter à l'état du patient
- Risque sur la fertilité
- S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur intestinale obstructive
- Utiliser chez la femme une contraception efficace avant la mise en route du traitement
Incompatibilités physicochimiques- Compatibilité avec certains solvants
- Incompatibilité avec tous les médicaments
Surveillances du traitement- Surveillance de la fonction hépatique pendant le traitement
- Surveillance de la glycémie pendant le traitement
- Surveillance échographique de la vésicule biliaire avant la mise en route du traitement
- Surveillance échographique de la vésicule biliaire tous les 6 à 12 mois pendant le traitement
Informations relatives à la sécurité du patientOCTREOTIDE (acétate) 100 µg/ml sol inj/p perfNiveau de risque : XCritique IIIElevé IIModéré IBas
Interactions médicamenteusesIIModéréNiveau de gravité: Précaution d'emploiAnalogues de la somatostatine + Ciclosporine (voie orale) Risques et mécanismes Avec la ciclosporine administrée par voie orale : baisse des concentrations sanguines de ciclosporine (diminution de son absorption intestinale). Conduite à tenir Augmentation des doses de ciclosporine sous contrôle des concentrations plasmatiques et réduction de la posologie après l'arrêt du traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Insuline Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en insuline, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Prévenir le patient du risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie, renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de l'insuline pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Pioglitazone Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Répaglinide Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en repaglinide, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la répaglidine pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Rosiglitazone Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Sulfamides hypoglycémiants Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en sulfamide hypoglycemiant, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie du sulfamide hypoglycémiant pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Contre-indicationsXCritiqueNiveau de gravité: Contre-indication absolue- Hypersensibilité à la somatostatine et à ses analogues
- Hypersensibilité à l'un des composants
- Allaitement
- Grossesse
PrécautionsIIModéréNiveau de gravité: Précaution- Acromégalie
- Carence en vitamine B12, antécédent (de)
- Cirrhose hépatique
- Diabète
- Enfant de moins de 15 ans
- Femme susceptible d'être enceinte
- Insulinome
- Patient traité par voie sous-cutanée
- Traitement prolongé
- Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
- Tumeur hypophysaire
- Varices oesophagiennes
Grossesse et allaitement
Contre-indications et precautions d'emploi Grossesse (mois) Allaitement 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Risques X X XContre-indication absolue
Risques spécifiques- Risque de boue biliaire
- Risque de bradycardie
- Risque de cholangite
- Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
- Risque de diminution de l'absorption des lipides alimentaires
- Risque de fluctuation de la glycémie
- Risque de lithiase biliaire
- Risque de stéatorrhée
- Risque de trouble de la glycorégulation
- Risque d'hyperglycémie
- Risque d'hypoglycémie
- Risque d'intolérance au glucose
Effets indésirables
Systèmes Fréquence de moyenne à élevée(≥1/1 000) Fréquence basse (<1/1 000) Fréquence inconnue ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE Hyperglycémie (Très fréquent)
Hypoglycémie (Fréquent)
Transaminases (augmentation) (Fréquent) Gamma GT (augmentation)
Hyperbilirubinémie
Phosphatases alcalines (augmentation)
T4 (diminution)
TSH (diminution) DERMATOLOGIE Prurit (Fréquent) Alopécie
Eruption cutanée
Urticaire DIVERS Asthénie (Fréquent) ENDOCRINOLOGIE Hypothyroïdie (Fréquent) Dysthyroïdie HÉMATOLOGIE Thrombopénie HÉPATOLOGIE Affection de la vésicule biliaire (Fréquent)
Boue biliaire (Fréquent)
Cholécystite (Fréquent)
Lithiase biliaire (Très fréquent)
Trouble hépatique (Fréquent) Cholestase
Hépatite aiguë
Hépatite cholestatique
Ictère
Ictère cholestatique IMMUNO-ALLERGOLOGIE Choc anaphylactique (Cas isolés) Hypersensibilité
Réaction anaphylactique INSTRUMENTATION Douleur au point d'injection
Eruption cutanée au point d'injection
Erythème au point d'injection
Inflammation au site d'injection
Oedème au point d'injection
Picotement au site d'injection
Réaction au point d'injection
Sensation de brûlure au point d'injection NUTRITION, MÉTABOLISME Anorexie (Fréquent)
Déshydratation (Peu fréquent)
Intolérance au glucose (Fréquent)
Trouble métabolique (Fréquent) Métabolisme glucidique (perturbation) (Rare) ORL, STOMATOLOGIE Sensation de vertige (Fréquent) Vertige SYSTÈME CARDIOVASCULAIRE Bradycardie (Fréquent)
Tachycardie (Peu fréquent) Anomalie de l'électrocardiogramme
Arythmie SYSTÈME DIGESTIF Ballonnement (Fréquent)
Constipation (Très fréquent)
Décoloration des selles (Fréquent)
Diarrhée (Très fréquent)
Douleur abdominale (Très fréquent)
Dyspepsie (Fréquent)
Flatulence (Très fréquent)
Nausée (Très fréquent)
Selle molle (Fréquent)
Stéatorrhée (Fréquent)
Vomissement (Fréquent) Distension abdominale (Rare)
Douleur épigastrique (Rare)
Occlusion intestinale (Rare)
Sensation d'inconfort abdominal (Rare) Météorisme
Pancréatite
Pancréatite aiguë
Trouble digestif SYSTÈME NERVEUX Céphalée (Très fréquent)
Trouble neurologique (Fréquent) SYSTÈME RESPIRATOIRE Dyspnée (Fréquent)
Niveau de risque : | XCritique | IIIElevé | IIModéré | IBas |
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Interactions médicamenteusesIIModéréNiveau de gravité: Précaution d'emploiAnalogues de la somatostatine + Ciclosporine (voie orale) Risques et mécanismes Avec la ciclosporine administrée par voie orale : baisse des concentrations sanguines de ciclosporine (diminution de son absorption intestinale). Conduite à tenir Augmentation des doses de ciclosporine sous contrôle des concentrations plasmatiques et réduction de la posologie après l'arrêt du traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Insuline Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en insuline, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Prévenir le patient du risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie, renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de l'insuline pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Pioglitazone Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Répaglinide Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en repaglinide, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la répaglidine pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Rosiglitazone Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Sulfamides hypoglycémiants Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en sulfamide hypoglycemiant, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie du sulfamide hypoglycémiant pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Niveau de gravité: Précaution d'emploiAnalogues de la somatostatine + Ciclosporine (voie orale) Risques et mécanismes Avec la ciclosporine administrée par voie orale : baisse des concentrations sanguines de ciclosporine (diminution de son absorption intestinale). Conduite à tenir Augmentation des doses de ciclosporine sous contrôle des concentrations plasmatiques et réduction de la posologie après l'arrêt du traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Insuline Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en insuline, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Prévenir le patient du risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie, renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de l'insuline pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Pioglitazone Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Répaglinide Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en repaglinide, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la répaglidine pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Rosiglitazone Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. Analogues de la somatostatine + Sulfamides hypoglycémiants Risques et mécanismes Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en sulfamide hypoglycemiant, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. Conduite à tenir Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie du sulfamide hypoglycémiant pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine.
Analogues de la somatostatine + Ciclosporine (voie orale) | |
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Risques et mécanismes | Avec la ciclosporine administrée par voie orale : baisse des concentrations sanguines de ciclosporine (diminution de son absorption intestinale). |
Conduite à tenir | Augmentation des doses de ciclosporine sous contrôle des concentrations plasmatiques et réduction de la posologie après l'arrêt du traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Analogues de la somatostatine + Insuline | |
Risques et mécanismes | Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en insuline, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. |
Conduite à tenir | Prévenir le patient du risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie, renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de l'insuline pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Analogues de la somatostatine + Pioglitazone | |
Risques et mécanismes | Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. |
Conduite à tenir | Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Analogues de la somatostatine + Répaglinide | |
Risques et mécanismes | Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en repaglinide, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. |
Conduite à tenir | Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la répaglidine pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Analogues de la somatostatine + Rosiglitazone | |
Risques et mécanismes | Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en glitazone, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. |
Conduite à tenir | Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie de la glitazone pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Analogues de la somatostatine + Sulfamides hypoglycémiants | |
Risques et mécanismes | Risque d'hypoglycémie ou d'hyperglycémie : diminution ou augmentation des besoins en sulfamide hypoglycemiant, par diminution ou augmentation de la sécrétion de glucagon endogène. |
Conduite à tenir | Renforcer l'autosurveillance glycémique et adapter si besoin la posologie du sulfamide hypoglycémiant pendant le traitement par l'analogue de la somatostatine. |
Contre-indicationsXCritiqueNiveau de gravité: Contre-indication absolue- Hypersensibilité à la somatostatine et à ses analogues
- Hypersensibilité à l'un des composants
- Allaitement
- Grossesse
Niveau de gravité: Contre-indication absolue- Hypersensibilité à la somatostatine et à ses analogues
- Hypersensibilité à l'un des composants
- Allaitement
- Grossesse
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PrécautionsIIModéréNiveau de gravité: Précaution- Acromégalie
- Carence en vitamine B12, antécédent (de)
- Cirrhose hépatique
- Diabète
- Enfant de moins de 15 ans
- Femme susceptible d'être enceinte
- Insulinome
- Patient traité par voie sous-cutanée
- Traitement prolongé
- Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
- Tumeur hypophysaire
- Varices oesophagiennes
Niveau de gravité: Précaution- Acromégalie
- Carence en vitamine B12, antécédent (de)
- Cirrhose hépatique
- Diabète
- Enfant de moins de 15 ans
- Femme susceptible d'être enceinte
- Insulinome
- Patient traité par voie sous-cutanée
- Traitement prolongé
- Tumeur endocrine gastroentéropancréatique
- Tumeur hypophysaire
- Varices oesophagiennes
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Grossesse et allaitement
Contre-indications et precautions d'emploi | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Risques spécifiques- Risque de boue biliaire
- Risque de bradycardie
- Risque de cholangite
- Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
- Risque de diminution de l'absorption des lipides alimentaires
- Risque de fluctuation de la glycémie
- Risque de lithiase biliaire
- Risque de stéatorrhée
- Risque de trouble de la glycorégulation
- Risque d'hyperglycémie
- Risque d'hypoglycémie
- Risque d'intolérance au glucose
Effets indésirables
Systèmes | Fréquence de moyenne à élevée(≥1/1 000) | Fréquence basse (<1/1 000) | Fréquence inconnue |
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ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE | Hyperglycémie (Très fréquent) Hypoglycémie (Fréquent) Transaminases (augmentation) (Fréquent) | Gamma GT (augmentation) Hyperbilirubinémie Phosphatases alcalines (augmentation) T4 (diminution) TSH (diminution) | |
DERMATOLOGIE | Prurit (Fréquent) | Alopécie Eruption cutanée Urticaire | |
DIVERS | Asthénie (Fréquent) | ||
ENDOCRINOLOGIE | Hypothyroïdie (Fréquent) | Dysthyroïdie | |
HÉMATOLOGIE | Thrombopénie | ||
HÉPATOLOGIE | Affection de la vésicule biliaire (Fréquent) Boue biliaire (Fréquent) Cholécystite (Fréquent) Lithiase biliaire (Très fréquent) Trouble hépatique (Fréquent) | Cholestase Hépatite aiguë Hépatite cholestatique Ictère Ictère cholestatique | |
IMMUNO-ALLERGOLOGIE | Choc anaphylactique (Cas isolés) | Hypersensibilité Réaction anaphylactique | |
INSTRUMENTATION | Douleur au point d'injection Eruption cutanée au point d'injection Erythème au point d'injection Inflammation au site d'injection Oedème au point d'injection Picotement au site d'injection Réaction au point d'injection Sensation de brûlure au point d'injection | ||
NUTRITION, MÉTABOLISME | Anorexie (Fréquent) Déshydratation (Peu fréquent) Intolérance au glucose (Fréquent) Trouble métabolique (Fréquent) | Métabolisme glucidique (perturbation) (Rare) | |
ORL, STOMATOLOGIE | Sensation de vertige (Fréquent) | Vertige | |
SYSTÈME CARDIOVASCULAIRE | Bradycardie (Fréquent) Tachycardie (Peu fréquent) | Anomalie de l'électrocardiogramme Arythmie | |
SYSTÈME DIGESTIF | Ballonnement (Fréquent) Constipation (Très fréquent) Décoloration des selles (Fréquent) Diarrhée (Très fréquent) Douleur abdominale (Très fréquent) Dyspepsie (Fréquent) Flatulence (Très fréquent) Nausée (Très fréquent) Selle molle (Fréquent) Stéatorrhée (Fréquent) Vomissement (Fréquent) | Distension abdominale (Rare) Douleur épigastrique (Rare) Occlusion intestinale (Rare) Sensation d'inconfort abdominal (Rare) | Météorisme Pancréatite Pancréatite aiguë Trouble digestif |
SYSTÈME NERVEUX | Céphalée (Très fréquent) Trouble neurologique (Fréquent) | ||
SYSTÈME RESPIRATOIRE | Dyspnée (Fréquent) |
Voir aussi les substances
Octréotide acétate
Chimie
IUPAC | disulfure cyclique-(2->7) de D-phénylalanyl-L-cystéinyl-L-phénylalanyl-D-tryptophyl-L-lysyl-L-thréonyl-[N-[hydroxy-2(hydroxyméthyl)-1propyl-(1R,2R)-L-cystéinamide |
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Synonymes | octreotide acetate |
Posologie
Defined Daily Dose (WHO) |
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