À propos de Magnésium
Mise à jour : 30 novembre 2015
Magnésium : Mécanisme d'action

Le magnésium est un cation principalement intracellulaire. Il diminue l'excitabilité neuronale et la transmission neuromusculaire, et intervient dans de nombreuses réactions enzymatiques.

Élément constitutionnel, la moitié du capital magnésien est osseux. 

Le magnésium est un antiacide d’action locale. Il est également  laxatif, par augmentation de l'hydratation et du volume du contenu colique par effet osmotique.

Fiche DCI Vidal

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Ésoméprazole (magnésium) 20 mg gélule gastrorésistante

Dernière modification : 23/05/2024 - Révision : 05/08/2024

ATCRisque sur la grossesse et l'allaitementDopantVigilance
A - VOIES DIGESTIVES ET METABOLISME
A02 - MEDICAMENTS DES TROUBLES DE L'ACIDITE
A02B - MEDICAMENTS DE L'ULCERE PEPTIQUE ET DU REFLUX GASTRO-OESOPHAGIEN (RGO)
A02BC - INHIBITEURS DE LA POMPE A PROTONS
A02BC05 - ESOMEPRAZOLE
Grossesse (mois)Allaitement
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Risques

INDICATIONS ET MODALITÉS D'ADMINISTRATION

ESOMEPRAZOLE (magnésium) 20 mg gél (µgle gastrorésis)

Indications

Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :

  • Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l')
  • Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la)
  • Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la)
  • Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
  • Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement d'entretien (de l')
  • Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l')
  • Prévention de la récidive hémorragique d'un ulcère gastroduodénal, trt de relais de la voie inj
  • Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du)
  • Syndrome de Zollinger-Ellison

Posologie

Unité de prise
gélule
  • ésoméprazole (magnésium) : 20 mg
Modalités d'administration
  • Voie orale
  • Administrer entier
  • En cas de difficulté à déglutir : possibilité de disperser le contenu de la gél ds l'eau non gazeuse
  • Possibilité d'administrer le contenu de la gélule par sonde gastrique après dispersion dans l'eau
  • Utiliser le dosage le plus adapté à la posologie
Posologie
Patient de 12 an(s) à 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
  • 40 mg 1 fois par jour
  • Pendant 4 à 8 semaines
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement d'entretien (de l') - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') - Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du)
Posologie standard
  • 20 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l')
Posologie standard
  • Traitement antibiotique à associer
  • 20 mg 2 fois par jour
  • Pendant 7 jours
Patient à partir de 18 an(s)
Patient quel que soit le poids
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
Posologie standard
  • 40 mg 1 fois par jour
  • Pendant 4 à 8 semaines
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement d'entretien (de l') - Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien, traitement préventif (de l') - Reflux gastro-oesophagien, traitement symptomatique (du)
Posologie standard
  • 20 mg 1 fois par jour
Eradication de Helicobacter pylori, traitement antisécrétoire associé (de l')
Posologie standard
  • Traitement antibiotique à associer
  • 20 mg 2 fois par jour
  • Pendant 7 jours
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement curatif (de la)
Posologie standard
  • 20 mg 1 fois par jour
  • Pendant 4 à 8 semaines
Lésion gastroduodénale induite par les AINS, traitement préventif (de la)
Posologie standard
  • 20 mg 1 fois par jour
Prévention de la récidive hémorragique d'un ulcère gastroduodénal, trt de relais de la voie inj
Posologie standard
  • 40 mg 1 fois par jour
  • Pendant 4 semaines
Syndrome de Zollinger-Ellison
Traitement initial
  • 40 mg 2 fois par jour
Traitement ultérieur éventuel
  • 80 à 160 mg en 2 prises par jour
  • Dose maximale par prise: 80 mg
Populations particulières
  • Insuffisance hépatique : Adapter la posologie

Modalités d'administration du traitement

  • Administrer entier
  • En cas de difficulté à déglutir : possibilité de disperser le contenu de la gél ds l'eau non gazeuse
  • Possibilité d'administrer le contenu de la gélule par sonde gastrique après dispersion dans l'eau
  • Traitement à arrêter au moins 5 jours avant un dosage de la chromogranine A

INFORMATIONS RELATIVES À LA SÉCURITÉ DU PATIENT

ESOMEPRAZOLE (magnésium) 20 mg gél (µgle gastrorésis)
Niveau de risque : X Critique III Haut II Modéré I Bas

Contre-indications

X Critique
Niveau de gravité : Contre-indication absolue
  • Hypersensibilité à l'un des composants
  • Hypersensibilité aux benzimidazolés

Précautions

II Modéré
Niveau de gravité : Précautions
  • Enfant de moins de 12 ans
  • Infection à Helicobacter pylori
  • Insuffisance hépatique sévère
  • Insuffisance rénale sévère
  • Ostéoporose
  • Sujet âgé
  • Sujet à risque d'ostéoporose
  • Sujet à risque de carence en vitamine B12
  • Sujet à risque de fracture
  • Traitement à la demande
  • Traitement prolongé
  • Ulcère gastrique

Interactions médicamenteuses

X Critique
Niveau de gravité : Contre-indication

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Rilpivirine

Risques et mécanismesDiminution des concentrations plasmatiques de rilpivirine par l'inhibiteur de la pompe à protons (absorption diminuée en raison de l'augmentation du pH gastrique).
Conduite à tenir
III Haut
Niveau de gravité : Association déconseillée

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Atazanavir

Risques et mécanismesDiminution très importante des concentrations plasmatiques de l'atazanavir, avec risque d'échec thérapeutique.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Méthotrexate (voie systémique)

Risques et mécanismesRisque d'augmentation de la toxicité du méthotrexate par diminution de son élimination.
Conduite à tenirAssociation déconseillée avec le méthotrexate aux doses > 20 mg/semaine. A prendre en compte pour des doses inférieures.

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Posaconazole (suspension buvable)

Risques et mécanismesDiminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
Conduite à tenirUniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole.

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Velpatasvir

Risques et mécanismesDiminution des concentrations de velpatasvir et de sofosbuvir.
Conduite à tenirSi l'association s'avère nécessaire, la bithérapie velpatasvir/sofosbuvir doit être prise au moment du repas, ou 4 heures avant la prise d'un IPP donné à dose minimale.

Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants

Risques et mécanismesDiminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément.
Conduite à tenirPrendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
II Modéré
Niveau de gravité : Précaution d'emploi

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hormones thyroïdiennes (voie systémique)

Risques et mécanismesDiminution probable de l'absorption des hormones thyroïdiennes, par augmentation du pH intra-gastrique par l'antisécrétoire.
Conduite à tenirContrôle clinique et biologique régulier, avec augmentation éventuelle de la posologie des hormones thyroïdiennes.

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lédipasvir

Risques et mécanismesDiminution des concentrations du lédipasvir en cas d'administration de l'inhibiteur de la pompe à protons avant le lédipasvir
Conduite à tenirIl est recommandé de prendre l'inhibiteur de la pompe à protons et le lédipasvir simultanément.

Esoméprazole + Escitalopram

Risques et mécanismesRisque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes.
Conduite à tenirSurveillance clinique et électrocardiographique pendant l'association.

Médicaments administrés par voie orale + Colestipol

Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices

Risques et mécanismesLa prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément.
Conduite à tenirD'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
I Bas
Niveau de gravité : A prendre en compte

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Abémaciclib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Axitinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Bosutinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Brigatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cabozantinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Céritinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobimétinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Crizotinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dabrafénib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Dasatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Erlotinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Fostamatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Géfitinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Giltéritinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ibrutinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Larotrectinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lorlatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Osimertinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ribociclib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ruxolitinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sorafénib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sunitinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Upadacitinib

Risques et mécanismesRisque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Acalabrutinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pémigatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pralsétinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Riprétinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Selpercatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sélumétinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Zanubrutinib

Risques et mécanismesRisque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cobamamide (voie orale)

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Cyanocobalamine (voie orale)

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Hydroxocobalamine (voie orale)

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mécobalamine (voie orale)

Risques et mécanismesRisque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Itraconazole (voie orale)

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Kétoconazole (voie orale)

Risques et mécanismesDiminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Lapatinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Nilotinib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Palbociclib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Pazopanib

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ponatinib

Risques et mécanismesRisque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur kinase, en raison de son absorption pH-dépendante.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Millepertuis (voie orale)

Risques et mécanismesRisque d'inefficacité du traitement antisécrétoire par augmentation de son métabolisme par le millepertuis.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Mycophénolate mofétil

Risques et mécanismesDiminution des concentrations de l'acide mycophénolique d'environ un tiers, avec risque potentiel de baisse d'efficacité.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Sotorasib

Risques et mécanismesRisque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption.
Conduite à tenir

Antisécrétoires inhibiteurs de la pompe à protons + Ulipristal

Risques et mécanismesRisque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption.
Conduite à tenir

Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)

Risques et mécanismesAvec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif.
Conduite à tenirEviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.

Interactions alimentaires, phytothérapeutiques et médicamenteuses

  • Interaction phytothérapique : millepertuis

Risques liés au traitement

  • Risque d'érythème polymorphe
  • Risque d'hypomagnésémie
  • Risque d'infection gastro-intestinale
  • Risque d'interférence avec les examens de laboratoire
  • Risque de diminution de l'absorption de la vitamine B12
  • Risque de fracture
  • Risque de lupus érythémateux cutané subaigu
  • Risque de réaction cutanée sévère
  • Risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de Lyell
  • Risque de syndrome DRESS

Traitement à arrêter définitivement en cas de...

  • Traitement à arrêter en cas de réaction cutanée sévère

Information des professionnels de santé et des patients

  • Info patient : consulter son médecin en cas d'apparition d'une réaction cutanée
  • Info patient : prendre un avis médical en cas de lésions cutanées associées à une arthralgie
  • Information du patient : signaler toute modif de symptômes de la maladie en cas de trt à la demande
  • S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur digestive

Effets indésirables

SystèmesFréquence de moyenne à élevée (?1/1 000)Fréquence basse (<1/1 000)Fréquence inconnue
ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE
  • Enzymes hépatiques (augmentation) (Peu fréquent)
  • Hyponatrémie (Rare)
  • Leucopénie (Rare)
  • Hypomagnésémie (Très rare)
  • Hypocalcémie
  • Hypokaliémie
  • DERMATOLOGIE
  • Urticaire (Peu fréquent)
  • Eruption cutanée (Peu fréquent)
  • Dermatite (Peu fréquent)
  • Prurit (Peu fréquent)
  • Nécrolyse épidermique toxique (Très rare)
  • Syndrome de Stevens-Johnson (Très rare)
  • Hypersudation (Rare)
  • Erythème polymorphe (Très rare)
  • Photosensibilisation (Rare)
  • Alopécie (Rare)
  • DIVERS
  • Oedème périphérique (Peu fréquent)
  • Fièvre
  • ENDOCRINOLOGIE
  • Gynécomastie (Très rare)
  • HÉMATOLOGIE
  • Agranulocytose (Très rare)
  • Thrombopénie (Rare)
  • Pancytopénie (Très rare)
  • HÉPATOLOGIE
  • Ictère (Rare)
  • Insuffisance hépatique (Très rare)
  • Hépatite (Rare)
  • IMMUNO-ALLERGOLOGIE
  • Syndrome DRESS (Très rare)
  • Hypersensibilité (Rare)
  • Lupus érythémateux cutané subaigu
  • Choc anaphylactique
  • Réaction anaphylactique
  • Angioedème
  • INFECTIOLOGIE D'ORIGINE FONGIQUE
  • Candidose digestive (Rare)
  • OPHTALMOLOGIE
  • Vision floue (Rare)
  • ORL, STOMATOLOGIE
  • Vertige (Peu fréquent)
  • Sécheresse buccale (Peu fréquent)
  • Sensation de vertige (Peu fréquent)
  • Stomatite (Rare)
  • Dysgueusie (Rare)
  • PSYCHIATRIE
  • Insomnie (Peu fréquent)
  • Hallucination (Très rare)
  • Agressivité (Très rare)
  • Confusion mentale (Rare)
  • Agitation (Rare)
  • Dépression (Rare)
  • SYSTÈME CARDIOVASCULAIRE
  • Malaise (Rare)
  • SYSTÈME DIGESTIF
  • Douleur abdominale (Fréquent)
  • Polype de glande fundique (Fréquent)
  • Nausée (Fréquent)
  • Constipation (Fréquent)
  • Vomissement (Fréquent)
  • Diarrhée (Fréquent)
  • Flatulence (Fréquent)
  • Colite microscopique
  • SYSTÈME MUSCULO-SQUELETTIQUE
  • Fracture du poignet (Peu fréquent)
  • Fracture vertébrale (Peu fréquent)
  • Fracture de la hanche (Peu fréquent)
  • Faiblesse musculaire (Très rare)
  • Douleur articulaire (Rare)
  • Douleur musculaire (Rare)
  • Rhabdomyolyseexcluded-france
  • SYSTÈME NERVEUX
  • Céphalée (Fréquent)
  • Somnolence (Peu fréquent)
  • Paresthésie (Peu fréquent)
  • Encéphalopathie (Très rare)
  • SYSTÈME RESPIRATOIRE
  • Bronchospasme (Rare)
  • UROLOGIE, NÉPHROLOGIE
  • Néphropathie interstitielle (Très rare)
  • Insuffisance rénale
  • Voir aussi les substances

    ésoméprazole magnésium

    Chimie
    IUPAC5-méthoxy-2-[(S)-[(4-méthoxy-3,5-diméthylpyridin-2-yl)méthyl]sulfinyl]-1H-benzimidazole, sel de magnésium
    Synonymesesomeprazole magnesium
    Posologie
    Defined Daily Dose (WHO)
    Oral:30 mg
    Parenteral:30 mg
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