
Selon cette étude, en 2014, la durée moyenne d'une nuit de sommeil est restée stable autour de 7 heures en semaine et de 8 heures le weekend. Un chiffre plutôt rassurant mais qui ne doit pas cacher le fait que 30 % des Français dorment moins de 6 heures pas nuit en semaine. Ce qui peut expliquer que 34 % des personnes interrogées dorment plus de 9 heures par nuit le weekend… et que 32 % des sondés font au moins une sieste par semaine. On aurait aimé des données géographiques sur la pratique de la sieste, histoire de conforter ou de démonter certains a priori.
Dans cette enquête, 40 % des personnes déclarent souffrir d'au moins un trouble du sommeil (difficultés d'endormissement, insomnie, apnée du sommeil, jambes sans repos, etc.). Mais les données manquent sur la fréquence de ces troubles dans le temps. Tous les jours, toutes les semaines, une fois par mois ? Parmi ces mauvais dormeurs, 13 % reçoivent un traitement pour faciliter le sommeil, un chiffre en baisse par rapport à 2013 où ils étaient 18 % dans ce cas.
Huit Français sur dix programment leur heure de réveil en fonction du temps nécessaire pour se rendre sur leur lieu de travail. Ce chiffre atteint 91 % pour ceux qui vivent à plus de 20 km de leur lieu de travail.
Cette enquête révèle en outre des données inédites sur les pratiques de sommeil dans les transports en commun (ou comme passager dans un véhicule automobile). En effet, 39 % des répondants confessent profiter du temps de transport pour récupérer sur leur manque de sommeil : 53 % dorment entre 10 et 30 minutes par jour dans ces circonstances, 34 % y dorment moins de 10 minutes et 13 % s'y offrent des siestes de plus de 30 minutes !
Enfin, pour les conducteurs, le manque de sommeil est une source importante de mise en danger d'eux-mêmes et d'autrui, en particulier sur les voies rapides : 17 % déclarent avoir somnolé au volant en se rendant au travail au moins une fois le mois précédant l'enquête et 9 % se sont brièvement endormis en conduisant au cours des douze derniers mois ! Dans tous les cas, l'insuffisance de durée du sommeil la nuit précédente est signalé comme la cause principale de cette baisse de vigilance.
En savoir plus :
Enquête Sommeil et Transports - 2014
Dans cette enquête, 40 % des personnes déclarent souffrir d'au moins un trouble du sommeil (difficultés d'endormissement, insomnie, apnée du sommeil, jambes sans repos, etc.). Mais les données manquent sur la fréquence de ces troubles dans le temps. Tous les jours, toutes les semaines, une fois par mois ? Parmi ces mauvais dormeurs, 13 % reçoivent un traitement pour faciliter le sommeil, un chiffre en baisse par rapport à 2013 où ils étaient 18 % dans ce cas.
Huit Français sur dix programment leur heure de réveil en fonction du temps nécessaire pour se rendre sur leur lieu de travail. Ce chiffre atteint 91 % pour ceux qui vivent à plus de 20 km de leur lieu de travail.
Cette enquête révèle en outre des données inédites sur les pratiques de sommeil dans les transports en commun (ou comme passager dans un véhicule automobile). En effet, 39 % des répondants confessent profiter du temps de transport pour récupérer sur leur manque de sommeil : 53 % dorment entre 10 et 30 minutes par jour dans ces circonstances, 34 % y dorment moins de 10 minutes et 13 % s'y offrent des siestes de plus de 30 minutes !
Enfin, pour les conducteurs, le manque de sommeil est une source importante de mise en danger d'eux-mêmes et d'autrui, en particulier sur les voies rapides : 17 % déclarent avoir somnolé au volant en se rendant au travail au moins une fois le mois précédant l'enquête et 9 % se sont brièvement endormis en conduisant au cours des douze derniers mois ! Dans tous les cas, l'insuffisance de durée du sommeil la nuit précédente est signalé comme la cause principale de cette baisse de vigilance.
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