Les VIDAL Recos sont des synthèses des recommandations thérapeutiques de l'ANSM, de la HAS et des sociétés savantes françaises et internationales, rédigées par le comité scientifique VIDAL et des experts du domaine.
Elle doit être systématiquement proposée à une femme ou un couple ayant un projet de grossesse. Elle peut être conduite par un généraliste, un gynécologue ou une sage-femme.
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Prise en compte d'éventuels traitements médicamenteux
Certains médicaments à risque tératogène sont formellement contre-indiqués : isotrétinoïne, acitrétine, IEC, sartans, etc.). Certains traitements au long cours (antiépileptiques dont valproate, antihypertenseurs, anticoagulants, psychotropes, etc.) peuvent nécessiter des adaptations posologiques ou une substitution par un médicament à moindre risque.
Le rapport bénéfice/risque de toute nouvelle prescription pour une femme exprimant un désir de grossesse doit être évalué en considérant une situation de début de grossesse. Lire Médicaments et femme en âge de procréer/grossesse.
3
Évaluation du niveau de risque
L'association de plusieurs facteurs de risque (pathologie évolutive, précarité, addiction, antécédents de grossesse pathologique, âge > 40 ans, etc.), correspond à un niveau de risque élevé (niveau B), qui implique un suivi régulier par un gynéco-obstétricien et le choix d'un lieu d'accouchement adapté.
Si un doute subsiste sur le niveau de risque, l'avis d'un gynécologue-obstétricien et/ou d'un autre spécialiste est conseillé avant la grossesse.
4
Vaccinations
Un vaccin tétravalent diphtérie-tétanos-polio-coqueluche doit être administré si les rappels prévus à 25 et 45 ans n'ont pas été faits.
La vaccination contre la coqueluche est recommandée à chaque grossesse, à partir du 2e trimestre (de préférence entre 20 et 36 semaines d'aménorrhée), même si une vaccination a eu lieu avant la grossesse, ainsi qu'en post-partum, avant la sortie de la maternité (même si allaitement) en absence de vaccination pendant la grossesse.
Un vaccin rubéoleux (associé à la rougeole et aux oreillons pour les femmes nées après 1980) doit être prescrit aux femmes dont la sérologie est négative. Il n'y a toutefois pas lieu de revacciner les femmes ayant déjà été vaccinées 2 fois pour la rubéole. Ce vaccin est contre-indiqué pendant la grossesse (risque tératogène), après un test de grossesse négatif préalable, une contraception efficace de 3 mois est recommandée après chaque dose de vaccin.
Le vaccin antivaricelleux est recommandé en l'absence d'antécédent clinique de varicelle (sérologie en cas de doute), après un test de grossesse négatif. Une contraception efficace de 3 mois est recommandée après chaque dose de vaccin.
5
Supplémentation en acide folique
La prescription d'acide folique est systématique en cas de désir d'enfant, dès l'arrêt de la contraception, l'idéal étant son administration 1 mois avant la conception et pendant le 1er trimestre de la grossesse.
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Consultation « préconceptionnelle »
Elle doit être systématiquement proposée à une femme ou un couple ayant un projet de grossesse. Elle peut être conduite par un généraliste, un gynécologue ou une sage-femme.
2
Prise en compte d'éventuels traitements médicamenteux
Certains médicaments à risque tératogène sont formellement contre-indiqués : isotrétinoïne, acitrétine, IEC, sartans, etc.). Certains traitements au long cours (antiépileptiques dont valproate, antihypertenseurs, anticoagulants, psychotropes, etc.) peuvent nécessiter des adaptations posologiques ou une substitution par un médicament à moindre risque.
Le rapport bénéfice/risque de toute nouvelle prescription pour une femme exprimant un désir de grossesse doit être évalué en considérant une situation de début de grossesse. Lire Médicaments et femme en âge de procréer/grossesse.
3
Évaluation du niveau de risque
L'association de plusieurs facteurs de risque (pathologie évolutive, précarité, addiction, antécédents de grossesse pathologique, âge > 40 ans, etc.), correspond à un niveau de risque élevé (niveau B), qui implique un suivi régulier par un gynéco-obstétricien et le choix d'un lieu d'accouchement adapté.
Si un doute subsiste sur le niveau de risque, l'avis d'un gynécologue-obstétricien et/ou d'un autre spécialiste est conseillé avant la grossesse.
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Vaccinations
Un vaccin tétravalent diphtérie-tétanos-polio-coqueluche doit être administré si les rappels prévus à 25 et 45 ans n'ont pas été faits.
La vaccination contre la coqueluche est recommandée à chaque grossesse, à partir du 2e trimestre (de préférence entre 20 et 36 semaines d'aménorrhée), même si une vaccination a eu lieu avant la grossesse, ainsi qu'en post-partum, avant la sortie de la maternité (même si allaitement) en absence de vaccination pendant la grossesse.
Un vaccin rubéoleux (associé à la rougeole et aux oreillons pour les femmes nées après 1980) doit être prescrit aux femmes dont la sérologie est négative. Il n'y a toutefois pas lieu de revacciner les femmes ayant déjà été vaccinées 2 fois pour la rubéole. Ce vaccin est contre-indiqué pendant la grossesse (risque tératogène), après un test de grossesse négatif préalable, une contraception efficace de 3 mois est recommandée après chaque dose de vaccin.
Le vaccin antivaricelleux est recommandé en l'absence d'antécédent clinique de varicelle (sérologie en cas de doute), après un test de grossesse négatif. Une contraception efficace de 3 mois est recommandée après chaque dose de vaccin.
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Supplémentation en acide folique
La prescription d'acide folique est systématique en cas de désir d'enfant, dès l'arrêt de la contraception, l'idéal étant son administration 1 mois avant la conception et pendant le 1er trimestre de la grossesse.
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Conseils aux patients
Prévention des risques infectieux
Le lavage des mains avec du savon ou une solution hydroalcoolique, avant et après toute manipulation d'aliments, après être allé aux toilettes et après avoir apporté des soins aux enfants, est recommandé.
Une femme non immunisée pour la toxoplasmose doit éviter tout contact direct avec des chats, ne pas toucher leur litière, veiller à ce que les légumes et les fruits qu'elle consomme crus soient soigneusement lavés et les viandes suffisamment cuites.
Afin de prévenir les risques de listériose, la consommation de produits laitiers crus (lait cru, fromages non pasteurisés) et de charcuteries est déconseillée. Un nettoyage régulier du réfrigérateur est recommandé, avec maintien d'une température ≤ 2° C. Il est également conseillé de ne pas décongeler un aliment à température ambiante, mais au réfrigérateur.
Afin de prévenir les risques de salmonellose, il est conseillé aux femmes enceintes de conserver les œufs au réfrigérateur et de ne pas consommer d'œufs crus ou mal cuits (œufs à la coque, mayonnaise, crèmes, mousse au chocolat, pâtisseries, etc.).
Alimentation et grossesse
Il est recommandé de consommer dès le début de la grossesse des aliments riches en vitamine D (poissons gras notamment, tels que sardine, maquereau ou saumon), en iode (lait et produits laitiers, crustacés, poissons, œufs et sel iodé), en calcium (3 à 4 produits laitiers par jour), en fer (produits d'origine animale : bigorneaux, pigeonneau, boudin noir), en acides gras polyinsaturés (poissons gras, huiles de colza et d'olive).
Il n'existe pas d'argument pour proposer systématiquement une supplémentation en iode en dehors de populations carencées.Grade A
La vitamine A, pour une dose supérieure aux apports conseillés, soit 700 µg équivalent rétinol par jour, peut avoir des effets tératogènes. Le foie et les produits à base de foie peuvent contenir de grandes quantités de vitamine A, et les femmes devraient éviter leur consommation excessive.Grade C
L'intérêt des compléments alimentaires multivitaminés n'a pas été évalué, les dosages étant extrêmement variables selon les préparations. Il est important de rappeler aux patientes de ne pas consommer de complément alimentaire sans avis médical.
La lecture du guide La santé vient en mangeant de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES) est recommandée.
Rapports sexuels et grossesse
Il n'existe aucune contre-indication aux rapports sexuels pendant la grossesse, en dehors de complications particulières telles que la menace d'accouchement prématuré et les métrorragies sur placenta prævia.
Emploi et grossesse
La grossesse est le plus souvent compatible avec la poursuite normale du travail. En cas de difficultés particulières (pénibilité de l'emploi, durée et conditions de transport), la femme enceinte peut avoir recours à son médecin traitant et/ou au médecin du travail pour envisager un aménagement de son poste. Une femme travaillant de nuit peut notamment demander une affectation de jour pendant sa grossesse. Les dates du congé maternité « ordinaire » seront précisées à la patiente.
Sport et grossesse
Commencer ou continuer une activité sportive modérée pendant la grossesse est possible.
Les sports de contact (judo, sports collectifs, etc.) ou de raquettes sont déconseillés en raison des risques de traumatisme de l'abdomen et de chutes qu'ils entraînent. La pratique de la gymnastique est possible, mais celle de l'aérobic est déconseillée car elle entraîne une augmentation du risque d'accouchement prématuréGrade A. La plongée sous-marine est contre-indiquée en raison du risque de malformations fœtales ou d'accidents de décompression.Grade C
Voyages et grossesse
Le port de la ceinture de sécurité est recommandé chez la femme enceinte. La ceinture 3 points doit être placée au-dessus et sous le ventre et non sur celui-ci.Grade B
Le risque thromboembolique est augmenté au cours de la grossesse et est maximal en péripartum. Au cours des vols long-courrier, le port de bas de contention adaptés réduit ce risque.Grade B Il est conseillé également à la femme enceinte de marcher le plus possible pendant le vol et de s'hydrater correctement. La plupart des compagnies aériennes acceptent les femmes enceintes jusqu'à 36 SA (se renseigner auprès de la compagnie avant le départ).
Des conseils personnalisés de prophylaxie doivent être donnés en cas de nécessité de voyage à l'étranger : vaccinations, risques infectieux (dont infection par le virus Zika), précautions générales d'hygiène. Lire Voyages : recommandations sanitaires.
Médicaments et grossesse
L'ANSM rappelle aux femmes « Les bons réflexes à adopter » :
ne jamais prendre de médicaments sans prescription dès qu'un projet de grossesse est formulé. En effet, des médicaments d'apparence anodine, proposés par exemple pour le traitement de douleurs ou d'infections saisonnières, en particulier les AINS (dont l'aspirine), peuvent s'avérer dangereux pour la mère et pour le fœtus. En cas de doute, il est conseillé de consulter son médecin ou sa sage-femme, le centre de pharmacovigilance de sa région, ou celui du Centre de renseignements sur les agents tératogènes (CRAT) ;
ne jamais arrêter seule un traitement prescrit ;
informer de la grossesse les professionnels de santé consultés.
Essais comparatifs randomisés de forte puissance méthodologiquement indiscutables
Méta-analyse d'essais comparatifs randomisés
Analyse de décision basée sur des études bien menées
Grades des recommandations selon l'échelle de la HAS (proposés à partir du Guide d'analyse de la littérature et gradation des recommandations, janvier 2000, révisé en 2012).
Grade B : présomption scientifique
Niveau 2
Essais comparatifs randomisés de faible puissance
Études comparatives non randomisées bien menées
Études de cohorte
Grades des recommandations selon l'échelle de la HAS (proposés à partir du Guide d'analyse de la littérature et gradation des recommandations, janvier 2000, révisé en 2012).
Grade C : faible niveau de preuve
Niveau 3
Études cas-témoins
Niveau 4
études comparatives comportant des biais importants
Études rétrospectives
Séries de cas
Grades des recommandations selon l'échelle de la HAS (proposés à partir du Guide d'analyse de la littérature et gradation des recommandations, janvier 2000, révisé en 2012).
AE : accord d'experts
Absence de preuve scientifique tirée de la littérature
Grades des recommandations selon l'échelle de la HAS (proposés à partir du Guide d'analyse de la littérature et gradation des recommandations, janvier 2000, révisé en 2012).
EU Clas. I
Classe 1
Recommandé
Preuve ou accord général
sur le bénéfice, l'utilité ou l'efficacité d'un traitement ou d'une procédure
Système de gradation le plus souvent utilisé par les sociétés savantes européennes, publié dans « Recommandations for Guidelines Production, a document for Task Force Members Responsible for the Production an Updating of ESC Guidelines », Committee for Practice Guidelines (CPG) of the European Society of Cardiology (ESC), 13 décembre 2010. Cette gradation est parfois enrichie d’une lettre (A, B, C) correspondant au niveau de preuve.
EU Clas. II
Classe 2
Preuves contradictoires
Preuves contradictoires et/ou divergence d'avis
sur l'utilité/l'efficacité d'un traitement ou d'une procédure.
Système de gradation le plus souvent utilisé par les sociétés savantes européennes, publié dans « Recommandations for Guidelines Production, a document for Task Force Members Responsible for the Production an Updating of ESC Guidelines », Committee for Practice Guidelines (CPG) of the European Society of Cardiology (ESC), 13 décembre 2010. Cette gradation est parfois enrichie d’une lettre (A, B, C) correspondant au niveau de preuve.
EU Clas. IIa
Classe 2a
Doit être discuté
Preuve et/ou avis en faveur de l'utilité/efficacité
Preuves contradictoires et/ou divergence d'avis
sur l'utilité/l'efficacité d'un traitement ou d'une procédure.
Système de gradation le plus souvent utilisé par les sociétés savantes européennes, publié dans « Recommandations for Guidelines Production, a document for Task Force Members Responsible for the Production an Updating of ESC Guidelines », Committee for Practice Guidelines (CPG) of the European Society of Cardiology (ESC), 13 décembre 2010. Cette gradation est parfois enrichie d’une lettre (A, B, C) correspondant au niveau de preuve.
EU Clas. IIb
Classe 2b
Peut être discuté
Utilité/efficacité moins bien établie par les preuves et/ou avis
Preuves contradictoires et/ou divergence d'avis sur l'utilité/l'efficacité d'un traitement ou d'une procédure.
Système de gradation le plus souvent utilisé par les sociétés savantes européennes, publié dans « Recommandations for Guidelines Production, a document for Task Force Members Responsible for the Production an Updating of ESC Guidelines », Committee for Practice Guidelines (CPG) of the European Society of Cardiology (ESC), 13 décembre 2010. Cette gradation est parfois enrichie d’une lettre (A, B, C) correspondant au niveau de preuve.
EU Clas. III
Classe 3
Non recommandé
Preuve et/ou avis qu'il n'y a pas d'utilité/efficacité du traitement ou de la procédure, qui peuvent, dans certains cas, nuire au patient
Système de gradation le plus souvent utilisé par les sociétés savantes européennes, publié dans « Recommandations for Guidelines Production, a document for Task Force Members Responsible for the Production an Updating of ESC Guidelines », Committee for Practice Guidelines (CPG) of the European Society of Cardiology (ESC), 13 décembre 2010. Cette gradation est parfois enrichie d’une lettre (A, B, C) correspondant au niveau de preuve.
USA Gr. I
Grade I
Recommandation forte
Recommandation forte positive ou négative (lorsqu'il est établi que le bénéfice est supérieur au risque ou que le risque est supérieur au bénéfice).
Différents systèmes de grades des recommandations sont utilisés par les sociétés savantes aux Etats-Unis, nous avons retenu celui de l’American College of Chest Physicians (ACCP) : « Grading Strength of Recommendations and Quality of Evidence in Clinical, Guidelines: Report From an American College of Chest Physicians Task Force (Guyatt G. et al., Chest, 2006, n° 129, pp. 174-181), un des plus souvent utilisés.
USA Gr. IA
Grade IA
Niveau de preuve élevé
Recommandation forte positive ou négative (lorsqu'il est établi que le bénéfice est supérieur au risque ou que le risque est supérieur au bénéfice).
Différents systèmes de grades des recommandations sont utilisés par les sociétés savantes aux Etats-Unis, nous avons retenu celui de l’American College of Chest Physicians (ACCP) : « Grading Strength of Recommendations and Quality of Evidence in Clinical, Guidelines: Report From an American College of Chest Physicians Task Force (Guyatt G. et al., Chest, 2006, n° 129, pp. 174-181), un des plus souvent utilisés.
USA Gr. IB
Grade IB
Niveau de preuve intermédiaire
Recommandation forte positive ou négative (lorsqu'il est établi que le bénéfice est supérieur au risque ou que le risque est supérieur au bénéfice).
Différents systèmes de grades des recommandations sont utilisés par les sociétés savantes aux Etats-Unis, nous avons retenu celui de l’American College of Chest Physicians (ACCP) : « Grading Strength of Recommendations and Quality of Evidence in Clinical, Guidelines: Report From an American College of Chest Physicians Task Force (Guyatt G. et al., Chest, 2006, n° 129, pp. 174-181), un des plus souvent utilisés.
USA Gr. IC
Grade IC
Niveau de preuve bas
Recommandation forte positive ou négative (lorsqu'il est établi que le bénéfice est supérieur au risque ou que le risque est supérieur au bénéfice).
Différents systèmes de grades des recommandations sont utilisés par les sociétés savantes aux Etats-Unis, nous avons retenu celui de l’American College of Chest Physicians (ACCP) : « Grading Strength of Recommendations and Quality of Evidence in Clinical, Guidelines: Report From an American College of Chest Physicians Task Force (Guyatt G. et al., Chest, 2006, n° 129, pp. 174-181), un des plus souvent utilisés.
USA Gr. II
Grade II
Recommandation faible
Recommandation faible (en cas de résultats incertains ou mêlant éléments de risque et de bénéfice
Différents systèmes de grades des recommandations sont utilisés par les sociétés savantes aux Etats-Unis, nous avons retenu celui de l’American College of Chest Physicians (ACCP) : « Grading Strength of Recommendations and Quality of Evidence in Clinical, Guidelines: Report From an American College of Chest Physicians Task Force (Guyatt G. et al., Chest, 2006, n° 129, pp. 174-181), un des plus souvent utilisés.
USA Gr. IIA
Grade IIA
Niveau de preuve élevé
Recommandation faible (en cas de résultats incertains ou mêlant éléments de risque et de bénéfice
Différents systèmes de grades des recommandations sont utilisés par les sociétés savantes aux Etats-Unis, nous avons retenu celui de l’American College of Chest Physicians (ACCP) : « Grading Strength of Recommendations and Quality of Evidence in Clinical, Guidelines: Report From an American College of Chest Physicians Task Force (Guyatt G. et al., Chest, 2006, n° 129, pp. 174-181), un des plus souvent utilisés.
USA Gr. IIB
Grade IIB
Niveau de preuve intermédiaire
Recommandation faible (en cas de résultats incertains ou mêlant éléments de risque et de bénéfice
Différents systèmes de grades des recommandations sont utilisés par les sociétés savantes aux Etats-Unis, nous avons retenu celui de l’American College of Chest Physicians (ACCP) : « Grading Strength of Recommendations and Quality of Evidence in Clinical, Guidelines: Report From an American College of Chest Physicians Task Force (Guyatt G. et al., Chest, 2006, n° 129, pp. 174-181), un des plus souvent utilisés.
USA Gr. IIC
Grade IIC
Niveau de preuve bas
Recommandation faible (en cas de résultats incertains ou mêlant éléments de risque et de bénéfice
Différents systèmes de grades des recommandations sont utilisés par les sociétés savantes aux Etats-Unis, nous avons retenu celui de l’American College of Chest Physicians (ACCP) : « Grading Strength of Recommendations and Quality of Evidence in Clinical, Guidelines: Report From an American College of Chest Physicians Task Force (Guyatt G. et al., Chest, 2006, n° 129, pp. 174-181), un des plus souvent utilisés.