Mise à jour : 17 février 2023

LOXAPAC 50 mg/2 ml sol inj en ampoule IM

LOXAPINE 50 mg/2 ml sol inj (LOXAPAC)Copié !
Commercialisé

SYNTHÈSE

Classification pharmacothérapeutique VIDAL
Psychiatrie > Neuroleptiques > Diazépines et oxazépines (Loxapine)
Classification ATC
SYSTEME NERVEUX > PSYCHOLEPTIQUES > ANTIPSYCHOTIQUES > DIAZEPINES, OXAZEPINES, THIAZEPINES ET OXEPINES (LOXAPINE)
Substance

loxapine

Excipients
polysorbate 80, propylèneglycol, acide chlorhydrique, eau ppi, azote
Présentation
LOXAPAC 50 mg/2 ml S inj en ampoule IM 10Amp/2ml

Cip : 3400956330980

Modalités de conservation : Avant ouverture : durant 36 mois (Conserver à l'abri de la lumière)

Commercialisé

FORMES et PRÉSENTATIONS

Comprimé pelliculé à 25 mg (blanc), à 50 mg (bleu), ou à 100 mg (bleu) :  Boîtes de 30, sous plaquettes.
Modèles hospitaliers : Boîtes de 30, sous plaquettes prédécoupées.
 
Solution buvable à 25 mg/ml :  Flacon de 30 ml muni d'un bouchon sécurité-enfant, avec seringue pour administration orale.
Modèle hospitalier : Flacon de 60 ml muni d'un bouchon sécurité-enfant, avec seringue pour administration orale.
Liquide visqueux, limpide, incolore ou faiblement jaunâtre.
 
Solution injectable à 50 mg/2 ml IM :  Ampoules de 2 ml, boîte de 10.

COMPOSITION

Comprimé :par comprimé
Loxapine* 
25 mg
ou50 mg
ou100 mg
Excipients (communs) : hydrogénophosphate de calcium, amidon de maïs gélifiable, amidon de maïs, méthylcellulose, stéarate de magnésium, acide stéarique. Pelliculage : cp 25 mg : Opadry Y-1-7000 blanc (hypromellose, dioxyde de titane, macrogols), macrogol 400 ; cp 50 mg : Opadry Y-1-6510 (hypromellose, dioxyde de titane, macrogol, laque d'indigotine), macrogol 400 ; cp 100 mg : Opadry Y-1-6510 (hypromellose, dioxyde de titane, macrogol, indigotine), macrogol 400.
*  sous forme de succinate : 34 mg/cp 25 mg ; 68 mg/cp 50 mg ; 136 mg/cp 100 mg.


Solution buvable :par ml
Loxapine 
25 mg
Excipients : propylène glycol, acide chlorhydrique, eau distillée.
Excipient à effet notoire : propylène glycol.
Solution injectable :par ampoule
Loxapine 
50 mg
Excipients : polysorbate 80, propylèneglycol, acide chlorhydrique 20 % v/v, eau pour préparations injectables.
Excipient à effet notoire : propylène glycol.

Gaz d'inertage : azote.

INDICATIONS

Comprimés et solution buvable :
Loxapac est indiqué chez l'adulte et l'enfant à partir de 15 ans dans le traitement des :
  • États psychotiques aigus.
  • États psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques non schizophréniques : délires paranoïaques, psychoses hallucinatoires chroniques).
  • États d'agitation, d'agressivité et anxiété associée à des troubles psychotiques ou à certains troubles de la personnalité à court terme et en alternative à la forme injectable.
Solution injectable :
Loxapac est indiqué chez l'adulte et l'enfant à partir de 15 ans dans le traitement des :
  • États d'agitation, d'agressivité, et anxiété associée à des troubles psychotiques ou à certains troubles de la personnalité.

POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION

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CONTRE-INDICATIONS

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MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI

Solution buvable :
Ce médicament contient du propylène glycol et peut provoquer des symptômes semblables à ceux provoqués par l'alcool.
Comprimés, solution buvable et solution injectable :
L'absorption d'alcool est fortement déconseillée pendant le traitement.
Glaucome/rétention urinaire :
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez les sujets atteints de glaucome et chez les malades susceptibles de présenter une rétention urinaire du fait des propriétés anticholinergiques de la loxapine.
Toxicité oculaire :
Dans les traitements prolongés, une toxicité oculaire ne peut être exclue ; on doit rester attentif à l'apparition de rétinopathies pigmentaires et de pigmentation lenticulaire.
Syndrome extrapyramidal
Des symptômes extrapyramidaux cédant partiellement aux antiparkinsoniens anticholinergiques sont des effets de classe connus avec les antipsychotiques. LOXAPAC doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des antécédents connus de symptômes extrapyramidaux.
Dyskinésie tardive
En cas d'apparition de signes et de symptômes de dyskinésie tardive chez un patient traité par la loxapine de façon prolongée, il convient d'envisager l'interruption du traitement. Ces symptômes peuvent s'aggraver temporairement ou même survenir après l'arrêt du traitement. Les antiparkinsoniens sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation de ces symptômes.
Syndrome malin des neuroleptiques
Le syndrome malin des neuroleptiques (SMN) est un syndrome potentiellement mortel associé aux traitements antipsychotiques. De rares cas rapportés comme SMN ont également été notifiés sous loxapine. Les signes cliniques du SMN sont l'hyperthermie, la rigidité musculaire, l'altération des facultés mentales, et des signes d'instabilité neurovégétative (instabilité du pouls et de la pression artérielle, tachycardie, hypersudation et troubles du rythme cardiaque). Peuvent s'ajouter des signes tels qu'élévation des CPK, myoglobinurie (rhabdomyolyse) et insuffisance rénale aiguë.
Si un patient présente des signes ou des symptômes évoquant un SMN ou une hyperthermie inexpliquée non accompagnée d'autres signes de SMN, tous les médicaments antipsychotiques, y compris la loxapine doivent être arrêtés.
Iléus paralytique et occlusion intestinale
La constipation est un facteur de risque d'occlusion intestinale. Des cas d'iléus paralytique associé à des signes cliniques d'occlusion intestinale comprenant des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et dans certains cas des vomissements fécaloïdes et des fécalomes, ont été rapportés avec la loxapine (cf Effets indésirables). Les patients prenant simultanément des médicaments diminuant la motilité intestinale présentent un risque plus élevé d'iléus paralytique (cf Interactions). Il est important de dépister et de traiter activement la constipation.
Maladies cardiovasculaires
Aucune donnée n'est disponible sur l'utilisation de LOXAPAC chez les patients présentant des affections cardiovasculaires sous-jacentes. LOXAPAC n'est pas recommandé dans les populations de patients présentant une affection cardiovasculaire connue (antécédents d'infarctus du myocarde ou de cardiopathie ischémique, insuffisance cardiaque ou troubles de la conduction), cérébrovasculaire ou états prédisposant les patients à l'hypotension (déshydratation, hypovolémie et traitement par des médicaments antihypertenseurs).
Hypotension :
Lors de l'utilisation de LOXAPAC chez un patient présentant une hypotension sévère nécessitant un traitement vasopresseur, les médicaments à privilégier sont la noradrénaline ou la phényléphrine. L'adrénaline ne doit pas être utilisée, en raison du blocage partiel des récepteurs alpha-adrénergiques induit par la loxapine (cf Interactions) et du risque de diminuer davantage la pression artérielle.
Troubles métaboliques
Comme avec tout antipsychotique, une surveillance clinique appropriée est souhaitable conformément aux recommandations en vigueur ; il est conseillé de réaliser un contrôle régulier de :
  • la glycémie, notamment au début du traitement par LOXAPAC, 12 semaines après l'instauration du traitement puis tous les ans ;
  • le poids, notamment au début du traitement par LOXAPAC, 4 et 12 semaines après l'instauration du traitement puis tous les 3 mois ;
  • les lipides (cholestérol total, cholestérol LDL, HDL, triglycérides), notamment au début du traitement par LOXAPAC, 12 semaines après l'instauration du traitement puis tous les 5 ans ;
  • la pression artérielle, notamment au début du traitement par LOXAPAC, 12 semaines après l'instauration du traitement puis tous les ans.
Thromboembolie veineuse
Des cas de thromboembolie veineuse (TEV) ont été rapportés avec les médicaments antipsychotiques. Étant donné que les patients traités par antipsychotiques présentent souvent des facteurs de risque acquis de TEV, tous les facteurs de risque de survenue de TEV doivent être identifiés avant et au cours du traitement et des mesures préventives doivent être prises le cas échéant.
Affections hépatiques et/ou rénales :
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez les sujets atteints d'affections hépatiques et/ou rénales, en raison du risque de surdosage.
 
Solution buvable et solution injectable :
Solution buvable : Ce médicament contient 75,04 g de propylène glycol dans 100 ml équivalent à 257 mg/kg par jour à la dose maximale de 600 mg de loxapine par jour chez l'adulte (pour un poids moyen de 70 kg).
Solution injectable : Ce médicament contient 1,40 g de propylène glycol par ampoule (2 ml) équivalent à 120 mg/kg par jour à la dose maximale usuelle de 300 mg de loxapine par jour chez l'adulte (pour un poids moyen de 70 kg).
Une surveillance médicale est requise chez les patients souffrant d'insuffisance rénale ou de troubles de la fonction hépatique car divers effets indésirables attribués au propylène glycol ont été rapportés tels qu'un dysfonctionnement rénal (nécrose tubulaire aiguë), une insuffisance rénale aiguë et une dysfonction hépatique.
Crises d'épilepsies/convulsions :
Des convulsions ont été rapportées chez des patients recevant de la loxapine.
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez les patients traités par des médicaments antiépileptiques, voire chez les patients ayant des antécédents de crises convulsives en raison de la possibilité d'abaissement du seuil épileptogène (cf Interactions).
Maladie de Parkinson :
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez les sujets parkinsoniens (cf Interactions).
Sujets âgés :
La loxapine doit être utilisée avec précaution chez le sujet âgé, en raison d'une plus grande sensibilité à la sédation et à l'hypotension orthostatique.
Patients âgés souffrant de psychose liée à une démence
Les données sont limitées sur l'utilisation de LOXAPAC chez les patients âgés, y compris chez ceux souffrant de psychose liée à une démence. Néanmoins, des études cliniques menées avec des médicaments antipsychotiques tant atypiques que conventionnels ont démontré que les patients souffrant de psychose liée à une démence présentent un risque accru de décès, comparé à celui des patients sous placebo. LOXAPAC n'est pas indiqué dans le traitement des patients souffrant de psychose liée à une démence.
Population pédiatrique :
Aucune étude n'a été réalisée chez des sujets de moins de 15 ans.
Solution buvable et solution injectable :
Présence de propylène glycol :
La solution buvable contient 75,04 g de propylène glycol dans 100 ml équivalent à 257 mg/kg par jour à la dose maximale de 600 mg de loxapine par jour chez l'adulte (pour un poids moyen de 70 kg).
La solution injectable contient 1,40 g de propylène glycol par ampoule (2 ml) équivalent à 120 mg/kg par jour à la dose maximale usuelle de 300 mg de loxapine par jour chez l'adulte (pour un poids moyen de 70 kg).
Le propylène glycol peut provoquer des symptômes semblables à ceux provoqués par l'alcool.
L'absorption d'alcool est fortement déconseillée pendant le traitement.
Une surveillance médicale est requise chez les patients souffrant d'insuffisance rénale ou de troubles de la fonction hépatique car divers effets indésirables attribués au propylène glycol ont été rapportés tels qu'un dysfonctionnement rénal (nécrose tubulaire aiguë), une insuffisance rénale aiguë et une dysfonction hépatique.
Même si le propylène glycol n'a pas démontré de toxicité pour la reproduction ou le développement chez les animaux ou les humains, il peut atteindre le fœtus et a été observé dans le lait. En conséquence, l'administration de propylène glycol aux patientes enceintes ou allaitantes doit être considérée au cas par cas.
Solution injectable : lors de l'utilisation de la loxapine par voie intramusculaire (IM) en association avec d'autres dépresseurs du système nerveux central (dont benzodiazépines), une surveillance accrue doit être apportée aux fonctions cardiaque et respiratoire.

INTERACTIONS

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FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT

Grossesse :

Bien que les données animales n'aient pas mis en évidence d'effet tératogène, des signes de retard du développement et une augmentation du nombre de décès après exposition in utero à la loxapine ont été observés chez l'animal (cf Sécurité préclinique).

Les données cliniques, bien que limitées, ne vont pas dans le sens d'une augmentation d'un risque malformatif. Les nouveau-nés exposés de façon répétée à des antipsychotiques au cours du troisième trimestre de la grossesse présentent un risque d'effets indésirables incluant des signes atropiniques (tachycardie, hyperexcitabilité, retard à l'émission de méconium, distension abdominale), des signes extrapyramidaux (hypertonie, trémulations), et une sédation (cf Effets indésirables).

En conséquence, LOXAPAC ne doit être utilisé pendant la grossesse que si l'éventuel bénéfice justifie le risque potentiel pour le fœtus. Si un traitement est nécessaire en fin de grossesse, la surveillance du nouveau-né devra tenir compte du profil d'effets indésirables de la molécule.

Solution buvable et solution injectable :
Ce médicament contient du propylène glycol et peut atteindre le fœtus. Un risque pour le fœtus ne peut être exclu (cf Mises en garde et Précautions d'emploi).

Allaitement :

L'innocuité de la loxapine durant l'allaitement n'a pas été établie.

Solution buvable et solution injectable :
Ce médicament contient du propylène glycol et a été observé dans le lait (cf Mises en garde et Précautions d'emploi).
Un risque pour l'enfant allaité ne peut être exclu. Une décision doit être prise quant à l'arrêt de l'allaitement ou à l'arrêt/abstention du traitement par LOXAPAC en tenant compte du bénéfice de l'allaitement pour l'enfant et du bénéfice du traitement pour la femme.
Fertilité :

Aucune donnée spécifique de l'effet de la loxapine sur la fécondité chez l'homme n'est disponible, mais il est connu qu'un traitement de longue durée par des antipsychotiques peut entraîner une perte de la libido et une aménorrhée. Des effets sur la reproduction ont été observés chez des rats femelles (cf Sécurité préclinique).


CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

L'attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules ou les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence liés à l'emploi de ce médicament.
L'altération de la vigilance peut être dangereuse pour la conduite et l'utilisation de machines, notamment en cas d'association avec l'alcool, l'oxybate de sodium ou des dépresseurs du système nerveux central (cf Interactions).

EFFETS INDÉSIRABLES

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SURDOSAGE

En cas de surdosage, les manifestations cliniques peuvent être variables et se traduire par une somnolence, un coma, une hypotension sévère et une dépression respiratoire.

Aucun antidote spécifique connu.

Traitement symptomatique en milieu spécialisé.

PHARMACODYNAMIE

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PHARMACOCINÉTIQUE

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SÉCURITÉ PRÉCLINIQUE

Les données de sécurité non cliniques issues des études conventionnelles de sécurité pharmacologique, de toxicologie en administration répétée et de génotoxicité n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme, hormis des modifications au niveau des tissus de reproduction, liées à la pharmacologie étendue de la loxapine. Des modifications similaires, par exemple une gynécomastie, sont connues chez l'être humain, mais seulement après une administration de longue durée de médicaments induisant une hyperprolactinémie.

Chez les rats femelles, une altération de la reproduction a été observée en raison d'un diestrus persistant après un traitement par voie orale par la loxapine. Des études du développement embryonnaire et fœtal, ainsi que périnatal, ont mis en évidence des signes de retard du développement (faible poids, retard d'ossification, hydronéphrose, hydro-uretère et/ou distension du pelvis rénal avec absence de papilles rénales ou réduction de leur nombre), ainsi qu'une augmentation du nombre des décès périnataux et néonataux dans les progénitures de rats femelles traitées à mi-gestation par des doses orales inférieures à la dose maximale recommandée chez l'homme pour Loxapac en mg/m2 (cf Fertilité/Grossesse/Allaitement).

INCOMPATIBILITÉS

Solution injectable :
En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments.

MODALITÉS DE CONSERVATION

Durée de conservation des comprimés et de la solution injectable :
3 ans.
Durée de conservation de la solution buvable :
Avant ouverture : 3 ans.
Après première ouverture : 30 jours.
Comprimé à 100 mg :
A conserver à une température inférieure à 25 °C et à l'abri de la lumière.
Comprimés à 25 mg et à 50 mg :
Pas de précautions particulières de conservation.
Solution buvable :
Pas de précautions particulières de conservation.
Conserver le flacon et la seringue pour administration orale ensemble dans la boîte entre chaque utilisation.
Solution injectable :
Pas de précautions particulières de conservation.
Le produit doit être utilisé immédiatement après ouverture.

MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION

Pas d'exigences particulières pour l'élimination.

Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

LISTE I
Solution injectable IM : Médicament réservé à l'usage hospitalier et à l'usage en situation d'urgence selon l'article R.5143-5-8 du code de la Santé publique (médicament pouvant être administré directement par les médecins n'exerçant pas dans un établissement de santé public privé s'ils interviennent en situation d'urgence ou dans le cadre d'une structure médicale mobile ou de rapatriement sanitaire).
AMM3400932227709 (RCP rév 27.04.2022) cp 25 mg.
3400933435745 (RCP rév 27.04.2022) cp 50 mg.
3400933984281 (RCP rév 27.04.2022) cp 100 mg.
3400958491191 (RCP rév 27.04.2022) cp 25 mg (plaq prédécoupée).
3400958491603 (RCP rév 27.04.2022) cp 50 mg (plaq prédécoupée).
3400958486111 (RCP rév 27.04.2022) cp 100 mg (plaq prédécoupée).
3400932334209 (RCP rév 27.04.2022) solution buv, flacon 30 ml.
3400936953918 (RCP rév 27.04.2022) solution buv, flacon 60 ml.
3400956330980 (RCP rév 27.04.2022) solution inj.
  
Prix :4,33 euros (30 comprimés à 25 mg).
8,58 euros (30 comprimés à 50 mg).
15,39 euros (30 comprimés à 100 mg).
3,53 euros (flacon de 30 ml).
Remb Séc soc à 65 % et Collect dans les indications : « États psychotiques aigus » et « États psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques non schizophréniques : délires paranoïaques, psychoses hallucinatoires chroniques) ».
Non remb et non agréé Collect dans l'indication « États d'agitation, d'agressivité et anxiété associée à des troubles psychotiques ou à certains troubles de la personnalité à court terme et en alternative à la forme injectable » à la date du 17.02.2023 (demandes à l'étude).
Solution injectable IM : Collect.
Modèles hospitaliers (comprimés en plaquettes prédécoupées et solution buvable) : Collect.

Laboratoire

EISAI SAS
1, Terrasse Bellini. 92800 Puteaux
Info médic : Tél : 01 47 67 00 05
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